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20 films que tous les recruteurs devraient avoir vus au moins une fois dans leur vie (partie 2)

Chez Betuned, la vidéo est au cœur de notre activité. Nous aidons les entreprises à se démarquer en montrant aux talents potentiels ce qui se cache derrière leur fonctionnement, l'essence même de leur entreprise, à travers des vidéos captivantes.

Notre expertise réside notamment dans la création de capsules vidéo immersives pour présenter vos offres d'emploi, offrant ainsi aux candidats potentiels toutes les réponses à leurs questions tout en leur révélant la véritable identité de votre entreprise et de leurs futurs responsables.

Dans notre équipe, il n'est pas surprenant que nous soyons tous passionnés de cinéma et de séries ! Lors de nos discussions informelles, nous partageons régulièrement nos recommandations cinématographiques.

C'est pourquoi nous avons décidé de rassembler une liste de 20 films incontournables que tout recruteur devrait avoir vus au moins une fois dans sa vie.

Voici donc la seconde partie de notre liste avec des films qui vous offrent des perspectives uniques sur le monde du travail, les relations professionnelles et les défis auxquels employés et employeurs font face.

Bonne lecture et bon visionnage !

6 - The Social Network (2010) - L'entrepreneuriat à l'ère du numérique

"The Social Network" retrace l'histoire de la création de Facebook par Mark Zuckerberg, interprété par Jesse Eisenberg. Ce film, inspiré des la vraie histoire de Facebook, explore les débuts tumultueux de l'entreprise qui a révolutionné les réseaux sociaux et a transformé la façon dont nous interagissons en ligne.

Le film souligne l'importance de la vision et de la persévérance. Mark Zuckerberg, bien qu'il ait connu des controverses et des conflits tout au long de son parcours, a su rester concentré sur son objectif et a réussi à surmonter les obstacles pour réaliser son rêve, son projet.

En outre, "The Social Network" met en lumière les dynamiques complexes des relations professionnelles et des partenariats. Il explore les défis et les tensions qui peuvent survenir lorsque des personnalités fortes travaillent ensemble et souligne l'importance de la communication et de la gestion des conflits dans un environnement entrepreneurial.

Enfin, le film met en avant l'impact du numérique sur le monde du travail et la société en général. Il invite les recruteurs à prendre en compte l'évolution rapide de la technologie et à s'adapter aux nouvelles tendances, en comprenant les enjeux liés à la transformation digitale et en recherchant des talents capables de naviguer dans ce contexte en constante évolution.

7 - The Wolf of Wall Street (2013) - Sales, Sex, and Motivation

"The Wolf of Wall Street" nous plonge dans l'univers de Jordan Belfort, un jeune courtier en bourse qui décide de se lancer dans l'entrepreneuriat après avoir connu la faillite de son employeur. Le film, basé sur le livre éponyme de Jordan Belfort, explore les hauts et les bas de sa carrière et les excès qui ont caractérisé sa vie professionnelle.

Ce film met en évidence l'importance de la culture d'entreprise et d’une 'atmosphère motivante pour les employés. Bien que les méthodes de Belfort soient controversées, il ne fait aucun doute qu'il a réussi à créer une ambiance de compétition énergique et positive au sein de son entreprise. Ses talents de motivateur hors pair lui ont permis de bâtir une équipe solide et soudée, prête à surmonter les défis du monde de la finance.

"The Wolf of Wall Street" souligne également l'importance de la conviction et de la capacité à vendre. Jordan Belfort était reconnu pour son talent dans l'art de convaincre les clients d'investir et de prendre des risques.

Cependant, le film nous rappelle aussi les dangers de l'avidité et de l'éthique douteuse. Il met en garde contre les pratiques illégales et immorales qui peuvent avoir des conséquences néfastes sur les individus et les entreprises. En tant que recruteur, il est important de retenir l'importance de l'intégrité et de la responsabilité dans le monde professionnel.

8 - The Big Short (2015) - Dilemmes et culpabilité

Dans "The Big Short", le film nous plonge dans l'univers des investisseurs qui ont réussi à anticiper et à profiter de l'effondrement de la bulle immobilière américaine en 2008. Ces personnages ont utilisé leur expertise pointue du marché de l'immobilier et leur capacité à analyser des données complexes pour prédire la catastrophe imminente. Ce film met donc en évidence l'importance de devenir un expert dans son domaine pour être en mesure de saisir les opportunités et de réussir.

Cependant, "The Big Short" ne se contente pas de montrer les protagonistes en tant que héros triomphant face à un système défaillant. Il expose également les personnages aux doutes et à la culpabilité. En effet, ces investisseurs réalisent que leur pari contre le marché, bien qu'il leur permette de réaliser d'énormes profits, contribuera également à la misère et à la pauvreté de millions d'Américains.

Le film nous pousse donc à réfléchir profondément sur la signification de nos actions, sur le pourquoi de nos choix et sur nos véritables motivations. Il soulève des questions éthiques et morales qui nous invitent à examiner nos responsabilités et les conséquences de nos décisions. En mettant en lumière les dilemmes éthiques auxquels sont confrontés les personnages, "The Big Short" nous rappelle l'importance de la responsabilité éthique dans le monde professionnel.

9 - Boiler Room (2000) - Créer le sentiment d'urgence

"Boiler Room", basé sur la même société que le film "Le Loup de Wall Street", Stratton Oakmont, raconte l'histoire d'un jeune homme, joué par Giovanni Ribisi, qui est séduit par la promesse de devenir rapidement riche en travaillant dans la finance.

Dans ce film, les vendeurs sont encouragés à adopter des techniques de vente agressives et impitoyables pour conclure des transactions.

Une citation clé du film révèle cette mentalité : "Personne ne refuse une vente!! Une vente est conclue à chaque appel que vous passez. Soit vous vendez des actions ou des obligations au client, soit il vous donne une raison pour laquelle il ne peut pas acheter. Dans tous les cas, une vente est réalisée, la seule question est : qui va conclure ? Vous ou lui ? Maintenant, soyez impitoyable, c'est tout, j'ai fini."

La dernière scène du film montre comment la peur de rater une opportunité peut modifier le comportement d’un acheteur en le forçant à prendre une décision rapide.. Cette leçon peut être appliquée dans le domaine du recrutement, où les recruteurs peuvent utiliser la technique de la "rareté" pour maintenir l'intérêt des candidats et les encourager à prendre une décision plus rapidement. En informant avec bienveillance les candidats des autres candidatures en cours, ils peuvent être incités à prendre une décision plus rapidement.

10 - Devil wears Prada - Un entretien d’embauche un peu particulier

Dans le film "Le diable s'habille en Prada", Andréa Sachs est une jeune diplômée qui aspire à devenir journaliste. Elle décide de travailler pour une grande entreprise de mode, Runway, dirigée par la tyrannique Miranda Priestly. Andréa doit faire face à un environnement hostile, où la concurrence entre collègues est rude et les exigences sont élevées. Elle apprend vite que pour réussir dans ce milieu, elle doit devenir une experte de la mode et apprendre à anticiper les besoins de Miranda.

Cependant, Andréa ne veut pas perdre son intégrité morale et sa personnalité. Elle essaie de naviguer dans cet environnement presque toxique sans compromettre ses valeurs, mais finit par être entraînée dans un tourbillon de paillettes et de glamour. Elle prend conscience que pour être acceptée par Miranda, elle doit renoncer à une partie de sa personnalité.

Le film montre la difficulté de faire sa place dans un univers peu accueillant et comment faire pour se faire accepter par un patron tyrannique tout en préservant ses valeurs. Il souligne également l'importance de savoir dire non quand on est confronté à une situation qui ne correspond pas à nos vraies motivations.

(Et je vous recommande vivement la scène mythique de l’entretien d’embauche d’Andréa. Tout ce qu’il ne faut pas faire quand on est recruteur !

(Bonus) Training Day - Faut-il toujours faire confiance à son boss ?

"Training Day" est un film qui met en scène un jeune policier idéaliste, Jake Hoyt, interprété par Ethan Hawke, qui a pour mission de suivre un vétéran de la police de Los Angeles, le sergent Alonzo Harris, joué par Denzel Washington, lors de sa première journée de travail. Au fil de la journée, Jake réalise que le sergent Harris est loin d'être un exemple à suivre et qu'il est impliqué dans des activités illégales. Jake est alors confronté à un choix difficile: suivre les ordres de son supérieur ou suivre sa conscience.

Le film souligne la difficulté de faire confiance à une personne en position de pouvoir sans connaître tous les aspects de sa personnalité. Il montre également comment la pression du groupe peut amener à des comportements qui ne correspondent pas à nos valeurs profondes. Le personnage de Jake représente cette lutte entre la loyauté envers son chef et le respect de ses principes.

Cette situation peut être transposée dans le monde de l'entreprise, où il est important de ne pas renoncer à ses valeurs pour plaire à un supérieur ou pour atteindre ses objectifs professionnels. Il est primordial de trouver une entreprise qui partage les mêmes valeurs que soi et de ne pas se laisser entraîner dans des comportements immoraux ou illégaux, même si cela peut sembler être un moyen rapide d'atteindre ses objectifs. "Training Day" met en lumière cette question universelle de l'intégrité et de la fidélité à soi-même, qui est pertinente dans tous les domaines de la vie.

BONUS (2) Les portes de la gloire - Le quotidien des vendeurs itinérants filmé sur un ton décalé

Ah, "Les Portes de la Gloire" avec Benoît Poelvoorde, un film belge qui n'a pas froid aux yeux ! Ce long-métrage nous plonge dans le quotidien des vendeurs itinérants, ou comment vendre des encyclopédies en porte-à-porte peut devenir une véritable épopée.

Entre les clients méfiants et les collègues plus qu'envahissants, on ne sait plus où donner de la tête. Ce film nous rappelle que le métier de commercial est bien plus difficile qu'on ne le pense, et que la pression exercée par les managers peut parfois être insoutenable.

Mais heureusement, avec un peu d'humour et de détermination, on peut réussir à vendre n'importe quoi, même une encyclopédie sur la botanique ! Et puis, il faut bien l'avouer, c'est toujours plaisant de voir un film belge qui met en avant notre belle culture et notre sens de l'autodérision.

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20 films que tous les recruteurs devraient avoir vus au moins une fois dans leur vie (partie 1)

Chez Betuned, la vidéo fait vraiment partie de notre quotidien. Nous aidons les entreprises qui recrutent à se différencier des autres employeurs en montrant à leurs futurs talents l’envers du décor, l’ADN de leur entreprise notamment en utilisant la vidéo.

Une de nos marques de fabrique c’est de présenter les offres d’emploi sous forme de capsules vidéos immersives et impactantes qui permettent de répondre à toutes les questions que se pose un candidat potentiel tout en lui révélant le vrai visage de votre entreprise mais aussi celui de son futur manager !

Pas étonnant donc que dans l’équipe nous soyons tous un peu fans de cinéma et de séries !

Lors de nos discussions informelles, nous échangeons souvent nos recommandations cinématographiques. Cela nous a donné l’idée de compiler une liste de 20 films incontournables que tous les recruteurs devraient avoir vus au moins une fois dans leur vie dont voici la première partie. Ces films offrent des perspectives uniques sur le monde du travail, les relations professionnelles et les défis auxquels font face les employés et les employeurs.

Bonne lecture et bon visionnage !

1 - Pursuit of Happiness (2006) - Quand la motivation déplace des montagnes

The Pursuit of Happiness est un film à part qui révèle la force de la motivation lorsque les défis semblent insurmontables. Porté par Will Smith, ce film nous livre une scène culte qui tourne en boucle sur YouTube où le personnage principal, représentant de commerce qui peine à joindre les deux bouts, malgré une nuit passée en garde à vue, se présente à un entretien d'embauche. Épuisé mais déterminé, il répond avec assurance aux questions de l'intervieweur ,déterminé qu’il est à obtenir le poste.

Cette scène illustre admirablement la capacité d'un candidat à faire face aux difficultés et à donner le meilleur de lui-même même en situation de stress. En tant que recruteurs, nous pouvons trouver dans cette séquence une source d'inspiration pour repérer ces candidats dotés de résilience et de persévérance, des qualités indispensables pour réussir dans le monde professionnel.

“Tu as un rêve. C’est ton bien le plus précieux. Les autres vont essayer de tout faire pour que tu n’y arrives pas, ils vont te dire que c’est impossible et ils se sentiront mieux si tu n’y arrives pas parce qu’eux-mêmes n’y arrivent pas. Si tu veux quelque chose, va le chercher. Point final." - Will Smith alias Chris Gardner dans The Pursuit of Happiness

2- Moneyball (2011) - Le sport est-il un business comme les autres ?

Moneyball, avec Brad Pitt dans le rôle principal, plonge les spectateurs dans le monde impitoyable du baseball professionnel américain. Le film dépeint l'envers du décor du sport le plus populaire aux États-Unis, où les méthodes de recrutement sont directes et parfois brutales.

Les joueurs sont souvent échangés ou vendus à une autre équipe du jour au lendemain, soit pour des raisons financières, soit parce qu'ils se blessent ou que leurs performances ne sont plus au rendez-vous.

Dans cet environnement aux relents toxiques, bien loin de la ferveur des stades remplis à craquer le dimanche après-midi, seuls quelques joueurs parviennent à se démarquer et à devenir des stars, tandis que la plupart des autres tombent rapidement dans l’oubli et retournent à leur vie d’avant.

Ce film met en évidence l'importance cruciale de la gestion des ressources humaines dans le domaine du sport professionnel. Les recruteurs doivent certes faire preuve de stratégie et de pragmatisme pour sélectionner les meilleurs joueurs pour leur équipe, tout en jonglant avec les contraintes budgétaires et les objectifs sportifs. Malheureusement, cela peut parfois se faire au détriment de l'aspect humain comme c’est le cas dans le film.

3 - The Intern ( 2015) - Nous avons tous des préjugés sur les seniors

Le film "The Intern" avec Robert de Niro et Anne Hathaway est une véritable réflexion sur l'adaptation d’une nouvelle recrue au sein d'une entreprise, en particulier quand celle-ci est plus âgée et ne possède pas les codes comportementaux de sa nouvelle entreprise.

Le personnage principal, Ben Whittaker, est un retraité de 70 ans qui cherche à combler le vide laissé par la mort de sa femme en trouvant un travail. Lorsqu'il intègre une entreprise de vente en ligne de vêtements pour femmes, il se retrouve confronté à une culture d'entreprise vraiment différente de celle à laquelle il était habitué, et à des collègues plus jeunes qui ont des préjugés sur les personnes âgées.

Cette situation soulève des questions importantes sur l'intégration des salariés plus âgés dans un environnement de travail en constante évolution. Le film montre comment Ben Whittaker s'adapte à son nouvel environnement de travail en utilisant son expérience de vie et ses compétences pour aider ses collègues plus jeunes à résoudre leurs problèmes professionnels et personnels.

4 - The Internship (2013) - Vous ne regarderez plus les stagiaires comme avant

Dans le film "The Internship", nous suivons les aventures de Billy McMahon et Nick Campbell ( Vince Vaughn et Owen Wilson) deux amis qui ont dépassé la trentaine et dont le job de vendeurs est rendu obsolète par l’arrivée du commerce en ligne.

Ils décident alors de se reconvertir en tentant leur chance en tant que stagiaires chez Google. Cependant, leur âge et leur manque de connaissances ( ils ne sont pas vraiment des geeks) créent un fossé culturel avec leurs collègues, qui sont tous des jeunes technophiles qui passent leur journée devant un écran.

Pour réussir leur stage, Billy et Nick doivent former leur propre équipe et participer à un hackathon. Au fil de leurs aventures, ils découvrent l'importance de rester au fait des nouvelles technologies, de ne pas tout rejeter en bloc et de se former pour travailler leur employabilité.

Le film montre également comment nos deux compères arrivent à créer une équipe forte et soudée, même s’ils sont au départ considérés comme des outsiders voire des loosers. Et en prime, nous avons l'occasion d'explorer la culture d'entreprise de Google et de scruter certaines techniques de recrutement qui font partie de sa réputation.

5 - Jerry Maguire (1996) - Quelle est ta motivation réelle ?

Jerry Maguire, interprété par Tom Cruise, est un agent de stars du sport américain, riche, beau et célèbre. Cependant, sa vie mondaine et artificielle lui pèse. Une nuit, il remet tout en question dans une note où il cherche à donner un sens à sa vie.

Désormais, Maguire souhaite être honnête et prioriser les intérêts de ses clients plutôt que ceux de l'entreprise. En désaccord avec son agence, il est licencié et décide de créer sa propre entreprise.

Seules quelques personnes croient en lui, mais le plus important est qu'il croit en lui-même ! Jerry rencontre alors de nombreux obstacles, mais sa ténacité et son pouvoir de persuasion l'aident à former une équipe solide et qui gagne.

Ce film met en lumière l’importance de tisser des relations de confiance avec les personnes qui nous entourent. C'est aussi la qualité essentielle d'un recruteur accompli qui doit nouer une relation fructueuse avec un futur candidat et ne pas contenter d’être un passeur de CV.

Le film est également une source d’inspiration pour tout responsable RH qui commence sa carrière, car Jerry est une source de motivation. C'est une personne déterminée et dotée d'une grande force de caractère qui prouve que mener des affaires de manière éthique peut devenir une réalité même dans un environnement où l’intégrité n’a a priori plus sa place.

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12 statistiques sur la vidéo que tout recruteur devrait absolument connaître

E-commerce, réseaux sociaux professionnels, influenceurs… Vous n’y échapperez pas, la vidéo est aujourd’hui présente dans 80 % des stratégies marketing online. Pourquoi ? Parce que c’est un moyen terriblement efficace de susciter l’intérêt et de convertir un internaute en client. Les sites de vente en ligne l’ont bien compris : les vidéos de produits sont converties en ventes 80 % plus souvent que les images de produits seules.

Et, comme d’habitude, les RH sont à la traîne. Le dernier rapport Recruitment Marketing Benchmark Report de Smashfly’s montre que si 80 % des recruteurs et responsables RH ont compris l’importance de la vidéo, seulement 5 % s’en servent au quotidien pour mettre en avant leurs offres d’emploi ou leur marque employeur.

Et pourtant, « susciter l’intérêt des demandeurs d’emploi et les convertir en candidats », n’est-ce pas l’objectif qui nous tient le plus à cœur en 2023 ? La vidéo n’est déjà plus une tendance, c’est un outil que nous devons vraiment mettre à profit dans notre manière de nous adresser aux candidats potentiels.

Si vous en doutiez, voici douze statistiques qui devraient vous faire définitivement changer d’avis !

Nous aimons tous la vidéo !

  • Un adulte regarde en moyenne six heures de vidéo par jour. (Nielsen)
  • Une vidéo sur LinkedIn est partagée vingt fois plus que n’importe quel autre contenu ! (LinkedIn)
  • Les internautes retiennent 95 % d'un message lorsqu'il est présenté dans une vidéo, contre 10 % lorsqu'ils lisent un texte seul.

Vos candidats potentiels encore plus !

  • Les offres d'emploi qui contiennent une vidéo obtiennent 12 % de vues en plus que les offres classiques
  • … et 34 % de candidatures en plus que les offres sans vidéo ! (CareerBuilder)
  • Une vidéo présente sur un site carrière ou une landing page peut en augmenter le taux de conversion de 86 % ! (Eyeview)
  • Les cabinets de recrutement constatent un taux d'engagement supérieur de 800 % pour les offres d'emploi intégrant une vidéo (Cisco)
  • 82 % des candidats cherchent leur prochain emploi depuis leur smartphone… et 90 % du trafic mobile sera vidéo en 2024.

Pourquoi ces statistiques sont-elles importantes pour votre stratégie RH ?

Ces statistiques signifient que l’utilisation de la vidéo est un must-have pour parler le même langage que vos futurs candidats. Ces derniers sont à la recherche d'informations de plus en plus précises sur leur prochain employeur.


Dans une description textuelle, vous avez du mal à faire passer vos valeurs, l’ambiance au sein de votre équipe ou certains éléments de votre culture d’entreprise ; l’enthousiasme d’une l’équipe et son dynamisme ne peuvent s’exprimer que par certains éléments de ponctuation.

Les recruteurs sont unanimes sur l’efficacité de la vidéo RH

D’ailleurs, quand on demande leur avis aux recruteurs qui ont commencé à utiliser la vidéo, ces derniers sont unanimes :

  • 80 % des personnes interrogées pensent que la vidéo a contribué à augmenter le volume des candidatures ;
  • 78 % pensent que la vidéo a permis d'améliorer la qualité des candidatures ;
  • 88 % des répondants qui ont utilisé la vidéo pensent qu'elle génère davantage de réponses de la part des candidats passifs ;
  • 85 % pensent que leur investissement dans la vidéo a eu un excellent retour sur investissement.

Vos vidéos doivent être au top !

En 2021, le Edelman Trust Barometer a montré que les candidats font trois fois plus confiance à un employeur sur le web qu’à n’importe quelle autre source d’information. C’est un atout énorme pour votre communication RH. Mais cela signifie aussi que vos vidéos doivent être à la hauteur des attentes des candidats. Transparence, authenticité et originalité sont des passages obligés pour se différencier de la concurrence et renforcer positivement votre image en tant qu’employeur.

Et si on mettait la vidéo au cœur de votre stratégie de recrutement ?

Betuned, c’est votre partenaire innovant sur le recrutement et l’employer branding.

→ Nous présentons vos offres d’emploi sous la forme de capsules vidéo courtes et très impactantes qui permettent aux candidats potentiels de se projeter directement dans leur futur poste et de répondre à toutes les questions qu’ils se posent.

Betuned, c’est aussi une agence de marketing éditorial et digital dédiée aux RH. Nous vous aidons à construire une marque employeur solide, authentique, en accord avec les valeurs et la stratégie de votre entreprise.

→ Articles de blog, newsletter, web-séries, vidéo jobs, podcast, community management sur LinkedIn, Instagram, Tik Tok… nous mettons en avant les atouts qui font la force de votre entreprise et qui donnent envie de rejoindre votre organisation.

Contactez-nous : amélie@betuned.be !

ChatGPT4 : Quels seront les métiers RH impactés par l’intelligence artificielle ?

ChatGPT et, de façon plus générale, l’intelligence artificielle (ou IA) sont source de nombreux espoirs, mais aussi de nombreuses craintes dans les départements des ressources humaines. Inutile de le nier, certains métiers vont devoir évoluer, d’autres vont peut-être disparaître.

Comment l’IA va-t-elle transformer les métiers des ressources humaines ? Quelques débuts de réponses dans cet article.

Quels sont les quatres enjeux de l’intelligence artificielle pour les RH ?

L'utilisation de l'intelligence artificielle dans le domaine des ressources humaines est porteuse de nombreuses promesses en termes d’automatisation de certaines tâches et d’aide à la décision, notamment pendant le processus de recrutement.

Optimiser le temps pour des tâches à plus forte valeur ajoutée : grâce à l'intelligence artificielle, les professionnels des RH peuvent progressivement laisser à la machine l’exécution de tâches répétitives mais néanmoins complexes. On pense par exemple aux ATS (les logiciels de recrutement) qui vont progressivement intégrer l’IA pour le tri des CV.

Réduire les coûts : en automatisant ces tâches répétitives, l'IA permet de gagner du temps (et de l'argent), ce qui contribue à la compétitivité de l'entreprise tout entière.

S'adapter aux nouvelles formes de travail : l'IA peut aider les entreprises à collecter et analyser un grand volume de données pour mieux comprendre les nouvelles attentes des collaborateurs, notamment avec la généralisation du télétravail, et ainsi améliorer le sentiment de reconnaissance au travail et d'appartenance. On pense notamment aux pulse surveys, dont l’analyse fine et à grande échelle permet de déceler des tensions ou des besoins non exprimés.

Améliorer les processus existants et futurs : grâce à l'IA, les RH peuvent recueillir des informations fiables et pertinentes pour évaluer objectivement la qualité des processus existants et les améliorer, en utilisant des indicateurs de performances basés sur les données.

Certains métiers RH vont-ils disparaître ?

On ne le sait pas encore précisément. Et puis, avec ou sans IA, des métiers apparaissent sans cesse et d’autres disparaissent aussi. Au XIXe siècle, pour produire 200 tonnes d’acier laminé, il fallait 50 hommes travaillant à temps plein pendant trois semaines dans une fonderie. Aujourd’hui, un laminoir moderne produit 100 fois plus d’acier sur la même période et il suffit d’un seul homme pour l’actionner.

Donc, si l’IA permet de travailler, d’analyser mieux et plus rapidement, certains jobs vont nécessairement changer de nature.

Par exemple, il est fort probable que dans quelques mois, les articles tels que celui que vous êtes en train de lire soient générés en partie par ChatGPT ou son petit frère. D’ailleurs, c’est peut-être déjà le cas. Idem pour les offres d’emploi qui seront progressivement rédigées par des chatbots ou la présélection des candidats qui pourra se faire à grande échelle grâce aux moteurs de machine learning.

Voilà pour certaines tâches répétitives dont on se passera aisément.

Au niveau des jobs qui seraient « menacés » (le mot est un peu fort), une étude américaine nous donne la liste des métiers RH dont la probabilité de remplacement est supérieure à 75 % d’ici 2025 :

  • gestionnaire de paie ;
  • recruteur ;
  • e-learning manager ;
  • assistant administratif RH ;
  • juriste RH.

Les professionnels RH doivent-ils avoir peur de l’IA ?

Il est important de distinguer la transformation des métiers et le remplacement des activités, afin de sortir des schémas de pensée limités auxquels beaucoup succombent facilement. Je schématise, mais rédiger une offre d’emploi plus vite en utilisant ChatGPT ne signifie pas que la personne qui rédige l’offre va se faire virer du jour au lendemain. Peut-être qu’au contraire, on aura besoin de toute son expérience pour utiliser au mieux les capacités de l’IA.

Il faut être cependant conscient d’une chose : l’IA induit des changements très, très rapides, donc à nous, professionnels RH, d’être capables de remettre en question certains préjugés et de ne pas tenter de protéger notre pré carré à tout prix… Nous devons nous préparer, anticiper et accompagner les changements en cours en identifiant ce qui nous permet de faire encore mieux notre travail au quotidien.

Pour conclure, j’ajouterais que les responsables RH n’ont pas forcément à craindre l'intelligence artificielle, mais ils doivent être conscients de l'impact potentiel de cette technologie sur leur métier et leurs missions, et se préparer à travailler avec elle plutôt qu’à nager à contre-courant. Et puis, vous savez, les études ne prédisent pas l’avenir et je suis de celles qui pensent qu’il faut à tout prix conserver de l’humain dans la gestion du capital… humain.

L'IA soulève également des défis et des interrogations tels que la protection de la vie privée, la transparence, la discrimination et la possibilité de réduction des emplois dans le domaine des ressources humaines.

Soyons honnêtes, nous n’avons pas toutes les réponses aujourd’hui, donc inutile de spéculer ; contentons-nous d’être de rigoureux et vigilants observateurs du changement, même si parfois, on a quand même l’impression que tout va très vite.

Vous rencontrez des difficultés à recruter sur certains postes ? Vous manquez de candidatures ? Vous avez tout essayé, mais les postes vacants freinent toujours votre développement ? Avez-vous pensé au recrutement vidéo ?

Si vous souhaitez accélérer votre processus de recrutement et attirer les meilleurs talents du marché, Betuned peut vous accompagner en présentant vos offres d'emploi de manière innovante grâce à la vidéo.

Contactez-nous pour un rendez-vous ou un video call sans engagement !

Employer branding : pourquoi vous faites fausse route ?

Il est loin, le temps où les entreprises pouvaient choisir librement leurs collaborateurs parmi un large éventail de candidats qualifiés. La guerre des talents est une réalité et les employeurs doivent redoubler d'efforts pour les attirer et les retenir.

Pourtant, si vous ignorez encore les pièges d'une stratégie d'employer branding non maîtrisée, vous risquez de nuire davantage à votre image de marque, de décevoir vos salariés et de décourager les candidats potentiels.

Si votre employer branding est en perte de vitesse, c'est peut-être parce que vous commettez l'une de ces six erreurs.

Pourquoi la marque employeur est-elle si importante ?

D’après le dernier rapport LinkedIn “Employer Brand Statistics”, 75 % des demandeurs d’emploi entreprennent une recherche active au sujet de leur futur employeur avant d’envisager de postuler. lls sont à la recherche d'informations allant du processus de recrutement au niveau de rémunération, en passant par la manière dont les nouvelles recrues sont formées lors de leur prise de poste.

Vous l’avez compris, publier massivement des offres d’emploi sur les jobboards ne sert plus à rien. La porte d’entrée qu’utilisent vos futurs talents pour faire connaissance avec votre entreprise est le contenu vous concernant qu’ils trouvent sur le web et les réseaux sociaux.

Il est donc crucial d’arriver à exprimer, à communiquer à l’extérieur ce qui se passe à l’intérieur de votre entreprise, de manière authentique bien sûr, pour rassurer, informer et donner envie de postuler aux candidats qui se sentent le plus proches de vos valeurs et de votre culture d’entreprise.

Quelles sont les raisons pour lesquelles votre stratégie de marque employeur peut échouer ?

Problème n° 1 - La marque employeur n'est pas la marque commerciale

Même si elles ont tendance à se rapprocher, à se chevaucher même, marque employeur et marque commerciale restent deux entités distinctes. Comprenez que la marque commerciale est conçue pour des consommateurs qui vont acheter des produits ou des services.

Pour la marque employeur, le message doit être plus subtil, il vient d’ailleurs : vous vendez l’idée de consacrer du temps et du travail à une entreprise à laquelle sont rattachées certaines valeurs.

Quelle est la solution ?

Prenez le temps de créer une marque employeur unique, basée sur les expériences réelles de vos employés actuels et sur les aspects positifs et bénéfiques de leur travail dans l’entreprise. L'idée, c’est d'avoir deux marques qui fonctionnent simultanément, mais qui s'adressent à deux publics différents avec deux messages distincts.

Problème n° 2 - Les ressources humaines ne disposent pas toujours d'un soutien solide en matière de marketing

La plupart du temps, les responsables RH ne sont pas des pros du marketing. C’est normal, car, par essence, ce n’est pas ce que la fonction demande a priori. Oui, mais voilà, avec les nouvelles attentes des candidats et un marché du travail tendu, les RH doivent muscler leur jeu en matière de marketing et surtout de marketing digital.

Quelle est la solution ?

Trois options s’offrent à vous pour mettre une bonne dose de marketing dans votre stratégie marque employeur :

  • créer un pont entre le service marketing (si vous en avez un) et le département RH ;
  • intégrer « un pro du marketing » dans l’équipe RH ;
  • faire appel à l’expertise de Betuned pour vous aider à construire et exécuter une stratégie d’employer branding unique, cohérente et authentique afin de révéler l’ADN de votre entreprise aux futurs talents.

Problème n° 3 - Une employee value proposition trop faible

Bien souvent, une marque employeur qui ne s’articule pas correctement n’est que le symptôme d’une employee value proposition (EVP) mal définie ou mal exprimée.

L’EVP, c’est l'ensemble des avantages tangibles et intangibles que les employés peuvent attendre de leur relation avec leur employeur.

L'EVP peut inclure des éléments tels que la rémunération, les avantages sociaux, les opportunités de développement professionnel, la culture d'entreprise, les valeurs organisationnelles, la flexibilité du travail, la reconnaissance et d'autres éléments qui contribuent à la satisfaction et à l'engagement des employés.

→ L'EVP est un élément clé de la gestion des ressources humaines et de la stratégie de marque employeur d'une organisation pour attirer, motiver et fidéliser les talents. Cette proposition doit être authentique, correspondre à ce que les candidats recherchent et produire des résultats positifs.

Quelle est la solution ?

Déterminez ce que votre entreprise peut offrir qu'aucune autre entreprise de votre secteur ne peut offrir et trouvez un moyen de l'exprimer de manière concrète.

Voici quelques exemples d'éléments à personnaliser si, bien sûr, vous êtes en capacité de les offrir à vos salariés :

  1. opportunités de développement professionnel : formation continue, programmes de mentorat, possibilités d'avancement de carrière, développement des compétences, etc. ;
  2. équilibre entre vie professionnelle et vie privée : politique de congés payés, horaires de travail flexibles, télétravail, aménagements d'horaires, etc. ;
  3. rémunération ; salaire compétitif, bonus, primes, récompenses basées sur la performance, etc. ;
  4. avantages sociaux : assurance santé, régimes de retraite, programmes d'aide aux employés, avantages familiaux, etc. ;
  5. culture d'entreprise positive : valeurs organisationnelles fortes, environnement de travail inclusif, reconnaissance des performances, etc. ;
  6. possibilités de participation à la vie de l’entreprise : engagement dans des projets significatifs, implication dans les décisions de l'entreprise, possibilités d'innovation, etc. ;
  7. équité et diversité : engagement envers l'équité salariale, promotion de la diversité et de l'inclusion, initiatives pour favoriser l'égalité des chances, etc.

Problème n° 4 - Négliger la question des départs des employés

Ou l’art de savoir se quitter en bons termes. Si un salarié décide de quitter le navire, il se peut que dans certains cas, son ressenti soit négatif au sujet de l’entreprise. Ces émotions non canalisées peuvent se retrouver sur les réseaux sociaux sous forme de publications LinkedIn ou de commentaires sur un site comme GlassDoor et nuire à votre marque employeur.

Soyez très attentif aux raisons du départ de tous vos collaborateurs et à l’expérience qu’ils vivent durant les dernières semaines de leur présence dans l’équipe.

Quelle est la solution ?

Il est essentiel d'accorder une attention particulière à l'offboarding, c'est-à-dire le processus de départ des employés de l'entreprise. Traitez ces employés avec respect et considérez sérieusement leurs commentaires. Il est important d'apporter les changements nécessaires en conséquence.

Il est également judicieux de surveiller les sites d'évaluation tels que Glassdoor pour pouvoir réagir rapidement en cas d'évaluation négative. Gardez à l'esprit que les candidats avertis prêtent attention à la façon dont une entreprise réagit aux critiques négatives.

Évitez de blâmer l'employé qui quitte l'entreprise et de dissimuler la vérité. Si l'avis est légitime, prenez le temps de fournir une réponse authentique et réfléchie.

Problème n° 5 - Le management n'incarne pas la marque employeur

Prendre le temps de développer une marque employeur de qualité est une chose, mais il en va tout autrement pour la direction qui doit l'adopter et apprendre à joindre le geste à la parole.

Si les managers ou l'équipe dirigeante ne défendent pas les valeurs de la marque employeur, les nouveaux salariés s'en apercevront rapidement. Et si le désalignement est suffisamment prononcé, ces nouvelles recrues risquent de se précipiter vers la sortie, ce qui vous renverra à la case départ : devoir recruter encore et encore.

Quelle est la solution ?

Faire en sorte que le management s'engage en faveur de la marque employeur et le démontre dans ses interactions quotidiennes avec les employés et lors des entretiens avec les candidats. Si vous avez du mal à y parvenir, c'est probablement le signe que votre marque employeur n'est pas authentique ou que votre direction ne se sent pas concernée par les messages qu’elle essaye de véhiculer.

Envie de discuter de marque employeur ? Contactez-nous !

La checklist ultime pour améliorer votre processus de recrutement

Pour attirer et fidéliser rapidement les meilleurs, il est indispensable de faire le point de manière régulière sur son processus de recrutement. Un peu comme pour une voiture qui passe au contrôle technique, dans cet article, nous vous proposons une checklist de points à vérifier pour améliorer votre processus de recrutement ou détecter certaines failles possibles et rectifier le tir rapidement.

1 - Identifiez votre candidat idéal avant de commencer à recruter

Pour améliorer votre processus de recrutement, la première étape est d'identifier le candidat idéal. Cela vous permettra de déterminer les compétences, les expériences, les intérêts et le niveau d'éducation nécessaires pour le poste. Une méthode pour y parvenir est de créer un candidate persona, une représentation fictive de votre candidat idéal

Cette étape cruciale vous permettra de mieux cibler vos efforts de recrutement et d'optimiser l'efficacité de votre processus pour ne pas chercher une aiguille dans une botte de foin. Il est également important de définir dès le début les critères de sélection non négociables pour éviter les malentendus au sein de l'équipe de recrutement.

2 - Travaillez votre marque employeur

« Pourquoi j’irais travailler chez vous ? » Vous n’en ferez jamais assez pour apporter des réponses concrètes et personnalisées à LA question que se posent tous les candidats.

Avoir une marque employeur forte est devenu crucial pour attirer les meilleurs talents sur un marché du travail très tendu, je ne vous apprends rien.

Les candidats veulent de l’authenticité et de la transparence dès le premier contact — sur votre site carrière, sur Google, en lisant une de vos offres d’emploi — avec votre entreprise. Ils ne vont pas attendre leur premier jour de travail pour évaluer votre culture d’entreprise pour sentir si elle leur convient ou pas.

Une marque employeur forte permet de communiquer de manière cohérente et attractive sur les valeurs, la culture, les avantages et les opportunités offertes par l'entreprise. Cela permet de se différencier de la concurrence, de susciter l'intérêt des meilleurs candidats et de mieux les cibler dès le début.

3 - Soyez mobile-first

En 2023, beaucoup de relations commencent sur un smartphone. Si vous êtes de ma génération, vous trouvez peut-être que c’est un peu triste, tout ce virtuel, mais c’est comme ça !

Si votre processus de recrutement n’épouse pas parfaitement les contours d’une navigation simple et fluide à partir d’un smartphone, alors vous allez vous priver d’au moins 60 % des meilleurs talents disponibles sur le marché.

Un processus de recrutement mobile-first, c’est principalement quatre choses à mettre en place :

  • bien sûr votre site web, votre page carrière, doit s’afficher de manière parfaite sur petit écran ;
  • choisissez vos canaux de communication en ne négligeant aucun réseau social ;
  • privilégiez les modes de communication mobile-native comme WhatsApp et n’oubliez pas que le taux d'ouverture des bons vieux textos est de 98 % !
  • enfin, et c’est le point le plus important, les contenus que vous produisez doivent être adaptés au mobile. Dites adieu aux textes trop longs écrits tout petit et privilégiez la vidéo, les photos ou des formats hybrides comme les infographies.

4 - Automatisez votre processus de recrutement avec un ATS

Pour simplifier votre processus de recrutement, passez à la vitesse supérieure en utilisant un logiciel de recrutement ou ATS (Applicant Tracking System).

Un ATS est un logiciel utilisé dans les processus de recrutement pour automatiser certaines tâches liées à la gestion des candidatures. Il permet de centraliser, organiser et suivre les candidatures reçues, pour vous faire gagner du temps et améliorer l'efficacité du processus d'embauche.

Un ATS peut également analyser les candidatures en recherchant des mots-clés spécifiques correspondant aux critères de l'annonce d'emploi, ce qui permet de trier rapidement les candidats pertinents et de prioriser les meilleurs profils.

Certains ATS offrent également des fonctionnalités de communication avec les candidats, de planification d'entretiens, de gestion des évaluations et de génération de rapports, ce qui facilite la collaboration entre les membres de l'équipe de recrutement.

→ En automatisant certaines tâches de recrutement, un ATS peut aider les entreprises à optimiser leur processus d'embauche et à prendre des décisions plus éclairées en matière de sélection de candidats.

5 - Assurez-vous que tous vous entretiens sont cohérents

Il est essentiel de veiller à la cohérence de vos entretiens d'embauche. Avant de convoquer les candidats qualifiés pour un entretien, il est important de définir une méthode et de faire en sorte de s’y tenir.

Cela implique de réfléchir aux types de candidats que vous souhaitez inviter à un entretien et de dresser une liste détaillée des questions à poser. L'élaboration de lignes directrices claires sur les sujets à aborder pendant l'entretien et les qualités recherchées chez un candidat peut vous aider à maintenir une approche cohérente lors des entretiens avec différents candidats.

Cette approche vous permettra également de comparer les candidats de manière équitable pour déterminer qui est le plus qualifié pour le poste en question.

6 - N’écartez pas trop vite les « médaillés d’argent »

Tous les candidats que vous allez rencontrer ne seront pas recrutés. Mais capitalisez sur tout début de relation positive que vous aurez noué pour conserver l’intérêt que les déçus d’aujourd’hui portent à votre entreprise.

Plus l'expérience d'un candidat est bonne, plus il est susceptible de postuler à d'autres postes vacants ou même de recommander votre entreprise à ses collègues ou amis. Tenez-les au courant de votre entreprise et des postes vacants qui leur conviendraient par le biais d’une newsletter par exemple, restez en contact avec eux et gardez la porte ouverte pour élargir votre vivier de talents.

7 - Optimisez votre onboarding

Le recrutement ne se termine pas lorsque les candidats signent leur contrat. Il s'agit d'un processus continu qui implique également de se pencher sur la formation et la fidélisation du personnel existant. L'un des points faibles de ce processus est paradoxalement le premier maillon de la chaîne, c'est-à-dire l'onboarding.

Vous évaluez le nouvel employé pendant la période d'essai, mais il vous évalue également. Il est important qu'il soit intégré dans son rôle aussi facilement que possible. Si aucune stratégie n'est mise en place, vous risquez de devoir repasser par la case "We are hiring" assez rapidement.

8 - Recueillir les feedbacks et les recommandations des nouveaux embauchés

Chaque fois qu'un nouveau collaborateur rejoint l'équipe, vous avez l'occasion de recueillir des informations fondamentales sur le processus de recrutement dont il vient de faire l'objet.

  • A-t-il été convaincu par votre employer branding ?
  • Comment a-t-il vécu les entretiens d'embauche ?
  • Le poste correspond-il à ses attentes ?

Un échange franc à ce sujet peut apporter des informations précieuses et mettre en évidence les points à améliorer. Et si vous possédez une programme de cooptation, c’est le bon moment pour en parler. Lorsque l’on est encore dans une dynamique de recherche d’emploi, on est beaucoup plus susceptible d’être ou d’avoir été en contact avec d’autres demandeurs d’emplois.


Contactez nous pour en discuter : amelie@betuned.be ou au 0474548989 !

Conscious quitting : quand les salariés votent avec leurs pieds

Allez, oust, le quiet quitting, c’est terminé ! La valse des anglicismes et des buzzwords s’accélère et la démission silencieuse n’a plus la cote. L’ère du conscious quitting (la démission consciente) semble être arrivée.

La « démission consciente », c’est lorsque des salariés choisissent de quitter leur entreprise car leurs valeurs ne sont plus alignées avec celles de leur employeur ; une tendance qui a émergé notamment en réponse à la pandémie de Covid-19 qui, on le sait, a été comme un détonateur des réflexions sur le sens au travail.

Un buzzword en chasse un autre

Paul Polman, ancien PDG du conglomérat britannique Unilever qui s’est autorebaptisé « chef d’entreprise militant pour le climat et l’égalité », a récemment affirmé que « l’ère de la démission consciente arrive à grands pas ». Ses propos font suite à une étude menée auprès de 4 000 employés aux États-Unis et au Royaume-Uni, dont les conclusions ont été publiées sur le site internet de Paul Polman en février 2023.

→ Selon cette étude, «près de la moitié » des personnes interrogées envisagent de quitter leur entreprise si les valeurs de celle-ci ne correspondent plus aux leurs.

→ De plus, un tiers des salariés ayant participé à l’enquête ont déjà démissionné pour ces mêmes raisons : le conscious quitting remplacerait progressivement la « démission silencieuse », ou quiet quitting.

Le manque de sens au travail, vraiment ?

Polman n’est pas le seul à s'intéresser de près à la question. Vincent Meyer, professeur à l'EM Normandie, spécialiste du monde professionnel, attribue ces variations sur le thème de la démission au manque — réel ou supposé — de sens au travail.

Le chercheur français nuance tout de même son analyse en avouant « qu’il n’est pas certain que ce nouveau buzzword devienne une véritable tendance de fond, mais c’est un phénomène à surveiller de près ».

Fabienne Autier, professeure-chercheure en gestion stratégique des ressources humaines et en organisation à l'EM Lyon Business School, se montre elle aussi effet circonspecte devant la représentativité du panel de l'étude citée par Paul Polman : 2 000 répondants américains et 2 000 répondants anglais interrogés en ligne. « Je souhaite aux gens de pouvoir démissionner de cette façon, mais ce n'est pas ce qu'on observe en Europe, où l’on démissionne pour des raisons plus concrètes. »

Dans la réalité, les comportements ne changent pas vraiment

Le constat de Fabienne Autier est que, malgré une prise de conscience plus importante des problématiques environnementales, cela ne suffit pas toujours à inciter les jeunes à quitter leur emploi, en particulier en période économique difficile.

Elle observe ainsi que de nombreux jeunes diplômés souhaitent travailler dans le domaine du développement durable, mais les statistiques d’embauche ne reflètent pas toujours ces aspirations. Il n’y a pas de postes ouverts pour tout le monde dans ces secteurs et pour beaucoup d’actifs, se reconvertir est un frein conséquent. N’échappe pas au système qui veut.

Ne pas faire l’autruche en tant qu’employeur

Quoi qu’il en soit, les entreprises ne peuvent plus ignorer les problématiques qui poussent les employés à partir en quête de sens, telles que le changement climatique, l'injustice socio-économique ou le manque de diversité, si elles veulent continuer à employer et fidéliser les meilleurs talents, surtout les plus jeunes.

Parmi les membres de la Gen Z, 58 % se disent prêts à renoncer à un job avec lequel ils ne partagent pas les mêmes valeurs.

Selon Paul Polman, les entreprises peuvent combler l'écart entre les valeurs des salariés et les leurs tout en renforçant leur résilience en adoptant trois mesures majeures :

  • montrer une ambition plus grande pour défendre leurs valeurs et leur impact positif sur le monde ;
  • mieux communiquer ce qui est réellement accompli ;
  • donner les moyens aux salariés de participer au changement.

Ne plus attendre

Une autre façon de prévenir le départ des employés motivés par des causes importantes est de mener une évaluation des valeurs et initiatives RSE de votre organisation, afin de déterminer si elles ont besoin d'être mises à jour ou complétées pour refléter les valeurs de vos employés.

→ Si votre entreprise n'a pas encore d'initiative spécifique en matière d'environnement et de durabilité, il peut être intéressant d'explorer les causes dans lesquelles elle peut s'engager pour les intégrer dans la culture d'entreprise.

Cela peut être réalisé concrètement de différentes manières :

  • en encourageant l’atteinte de la neutralité carbone de certains processus de production dans un certain délai ;
  • en encourageant activement des comportements durables sur le lieu de travail, tels que le recyclage ;
  • en mettant en place des actions d’économie d'énergie ;
  • en nommant un comité de réflexion interne sur les actions RSE avec des membres tirés au sort parmi les salariés (un peu comme une convention citoyenne).

Éviter le value-washing

Mais attention, n’essayez pas de jouer avec le feu avec de fausses valeurs ou en essayant de trop en faire au niveau communication. Au risque de tomber dans le value-washing, qui consiste à brandir des prétendues valeurs sans donner de preuves de ce sur quoi l’entreprise s’engage vraiment.

Et Fabienne Autier de nous le rappeler en guise de conclusion :

« Au-delà des mots qui font le buzz, les entreprises doivent être alertées sur l'importance de mettre en œuvre des actions environnementales réelles plutôt que de tomber dans le greenwashing, qui consiste à afficher des messages écologiques sans les suivre d'effets concrets, car les salariés peuvent vérifier quotidiennement si les déclarations de l'entreprise sont vraies ou non, et si elles ne le sont pas, cela peut conduire à un désengagement ou même à des démissions. »

Attirer et recruter les meilleurs talents, ça ne s’improvise pas : chaque job est unique, chaque candidat aussi !

→ Betuned présente vos offres d’emploi sous la forme de capsules vidéo pour que les candidats se projettent concrètement dans leur prochain job.

→ Betuned, c’est votre partenaire innovant sur le recrutement en Belgique ! Contactez-nous : amelie@betuned.be ou au 0474548989 !

Huit signes pour savoir si vous avez choisi le bon job

Dans la vie, il n’y a pas que le travail qui compte. Oui, mais un job dans lequel on se sent bien, dans lequel on a envie de s’impliquer — même un peu —, il faut avouer que c’est quand même mieux.

Et même si parfois, on a l’impression que tout va bien : des collègues sympas, un chef à l’écoute, des missions qui ne sont pas rébarbatives et qui font progresser… on ne peut s’empêcher de se demander : « Mais au fait est-ce que j’ai fait le bon choix en acceptant ce job ? »

Si vous aussi, cette question vous taraude, lisez cet article pour dissiper vos doutes ou au contraire, pour commencer à refaire votre CV !

Mon niveau de motivation est intact

Un des indicateurs clés pour savoir si vous avez choisi le bon job, c’est votre niveau de motivation global. Comment se situe-t-il par rapport au moment de votre prise de poste ?

Vous sentez-vous investi d’une mission ? Au-delà des petits coups de mou, avez-vous toujours autant envie de vous lever le matin ?

Si vous répondez par la positive, tout est OK. Si vous sentez que votre motivation décline ou est au plus bas depuis plusieurs mois, bref, que vous traînez des pieds pour aller au bureau… c’est peut-être le moment de vous poser les bonnes questions.

Je continue à apprendre

L’autre signe qui ne trompe pas, c’est si vous avez l’impression de continuer à apprendre et de développer de nouvelles compétences même après plusieurs mois ou plusieurs années dans la même entreprise.

Apprendre, cela ne passe pas forcément par le fait de suivre une formation de manière académique. Ce peut être tout simplement être au contact avec des collègues qui vous inspirent et qui en savent plus que vous, ou bien encore de changer de missions régulièrement, ou d’être promu à un poste pour relever de nouveaux défis.

Mes valeurs sont alignées sur celles de l’entreprise

Travailler pour une entreprise dont les valeurs sont alignées avec les vôtres est un autre signe que vous avez choisi le bon emploi. Partager les mêmes valeurs que celles de sa direction permet d’apporter du sens à son travail et c’est très important pour rester motivé à long terme.

Et puis, si vous avez une fonction commerciale ou qui implique des relations fréquentes avec des clients ou des partenaires, vous aurez d’autant plus de facilités à défendre vos projets si les objectifs de votre entreprise sont en accord avec les vôtres.

J’ai de bonnes relations avec mes collègues

Voilà encore un signe d’un job dans lequel on se sent bien : la qualité des relations que l’on entretient avec ses collègues. Bien sûr, on ne peut pas aimer tout le monde ni partager les mêmes centres d’intérêt — la collection de pandas en porcelaine pour Charline, la musique baroque pour Sylvie —, mais globalement, si tout le monde s’entend bien, alors c’est que vous n’êtes pas dans un environnement de travail toxique.

Des relations de travail apaisées contribuent, on le sait, à davantage de productivité et de créativité. Quand on se sent soutenu et épaulé, on a plus envie de bien faire et moins peur de proposer.

À l’inverse, si des clans commencent à se former, qu’on vous demande de choisir votre camp, ou si, pire, vous êtes la cible de certaines critiques qui sortent du domaine professionnel, tirez la sonnette d’alarme.

Le bon équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle

Oui, je sais, dans un récent article, j’interrogeais le sens même de la distinction entre vie privée et vie pro. Mais ce que signifie le titre de ce paragraphe, c’est qu’il ne faut pas tout sacrifier au travail : ni son temps, ni son énergie, ni ses relations personnelles ou amicales, etc.

De temps en temps, jeter un coup d'œil à son agenda pour vérifier les heures effectives que l’on consacre à son travail ne fait de mal à personne. Ceci n’est pas une invitation à la fainéantise, mais travailler plus longtemps ne signifie pas forcément travailler mieux.

Et puis, vous savez, aux États-Unis, de plus en plus d'entreprises obligent leurs cadres à installer des logiciels qui éteignent automatiquement leur PC ou les empêchent d’envoyer des e-mails après une certaine heure pour éviter les burn-outs ! Alors, si votre entreprise ne le fait pas pour vous, déconnectez-vous de temps en temps.

Je bénéficie d’un niveau de flexibilité satisfaisant

Pouvoir organiser votre travail de manière souple est un autre signe que vous avez choisi le bon emploi. Lorsque votre employeur s’intéresse davantage à vos résultats et à votre valeur ajoutée qu’au fait que vous vous êtes connecté à 8 h ou 8 h 05 lundi dernier, c’est un signe très positif.

Et si vous manquez d’arguments pour plaider en faveur d’une organisation du travail plus souple, sachez que le fait d’avoir la main sur son agenda procure un sentiment de contrôle sur le cours des choses qui, en général, débouche sur davantage de productivité et d’implication.

Et l’argent, dans tout ça ?

L’argent ne fait pas tout, mais les factures, elles tombent tous les mois. Un job qui vous offre une certaine stabilité financière vous permet de profiter de la vie, mais aussi de faire des projets à plus long terme.

Je suis fier de mon travail !

C’est le plus important. Imaginez un boulanger qui ne serait pas fier de sa baguette ! Impensable ! Si vous êtes fier de ce que vous accomplissez dans votre travail et que vous voyez comment celui-ci contribue à la mission globale de l'entreprise ou à la société dans son ensemble, c’est aussi un signe que vous avez choisi le bon job !

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Comment automatiser votre processus de recrutement avec un ATS ?

Transition numérique, digitalisation de l'économie… ces termes vous sont sûrement familiers. Le monde des Ressources Humaines est lui aussi en train de vivre une vraie révolution technologique.

Dans une étude menée en 2019 par RegionsJob, 46% des recruteurs interrogés déclaraient déjà utiliser un logiciel de type ATS (Applicant Tracking System) pour les aider à recruter plus rapidement et à automatiser certaines tâches.

👍 Dans cet article découvrez ce que signifie “automatiser son processus de recrutement” et par où commencer pour que cette démarche soit vraiment efficace.

Pourquoi automatiser son processus de recrutement ?

L'automatisation du processus de recrutement présente de nombreux avantages. Au lieu de publier manuellement des offres d'emploi, de répondre aux e-mails de suivi et de planifier les entretiens un par un, les responsables RH peuvent utiliser des outils automatisés tels qu'un ATS (Applicant Tracking System) pour gérer et fluidifier le processus.

Il est important de souligner au passage que l'automatisation ne remplace pas la relation humaine dans le recrutement de nouveaux talents, mais elle permet d'améliorer les performances du département RH.

→ Cela libère du temps pour se concentrer sur l'aspect crucial de la relation avec les candidats.

→ De plus, dans un marché de l'emploi favorable aux candidats, l'automatisation permet de gagner du temps et de recruter plus rapidement les talents dont l'entreprise a besoin

Selon une étude Monster (2020), les principales raisons pour lesquelles les entreprises se dotent d’un ATS pour automatiser les recrutements sont les suivantes :

  • réduire le time-to-hire
  • améliorer l’expérience candidat (en répondant plus rapidement par exemple)
  • réduire le cost-of-hire
  • gérer la complexité et la surcharge d’information
  • gérer la pression en provenance des opérationnels et de la direction

Quelles sont les étapes du processus de recrutement qui peuvent être automatisées ?

Un ATS ne peut pas tout faire à votre place et c’est tant mieux. Cependant, les logiciels de recrutement proposent une palette de plus en plus variée de fonctionnalités qui vont vraiment vous simplifier la vie.

Voici les tâches les plus facilement automatisables et qui vous feront gagner un temps fou :

- La diffusion d’une offre d'emploi : la plupart des ATS proposent de multi-diffuser une même offre sur plusieurs plateformes en un ou deux clics ! Certains logiciels diffusent même votre offre directement sur les réseaux sociaux si vos comptes sont connectés.

- La présélection des CVs : il s'agit d'utiliser des outils d'analyse sémantique ou de sélection prédictive (on parle ici d’Intelligence Artificielle ) pour trier les CVs reçus en fonction des critères définis par l'entreprise, et de ne retenir que les candidats les plus pertinents pour tel ou tel poste.

- Les entretiens en ligne : il s'agit d'utiliser des solutions de vidéoconférence ou de chatbots pour réaliser des entretiens à distance avec les candidats présélectionnés, sans avoir à se déplacer ou à caler un créneau horaire en prenant en compte les contraintes de plusieurs personnes en même temps. Certains ATS vous proposent même des questions à poser au candidat en temps réel en fonction du déroulé de l’entretien.

- Les tests de compétences en ligne : il s'agit d'utiliser des plateformes ou des applications pour faire passer aux candidats des tests de personnalité, de motivation, de logique, de culture générale ou de compétences techniques, afin d'évaluer leur adéquation avec le poste et la culture de l'entreprise. Les résultats de ces tests sont directement intégrés au dossier de candidature du candidat pour la suite du processus de recrutement.

- Automatisation de la communication avec les candidats : avec un ATS, mettez fin aux interminables chaînes d’e-mails qui où tout le monde se perd et utilisez un système de notifications pour prendre des décisions collectives plus rapidement au sujet d’un candidat.

Quelles sont les deux erreurs à éviter quand on automatise ses recrutements ?

Il faut utiliser l'automatisation quand elle apporte une valeur ajoutée uniquement, pas simplement pour se défaire d’une tâche qui ne nous plaît pas.

Voici les pièges dans lesquels il est si facile de tomber lorsque l’on commencer à “jouer” avec son ATS :

😡Viser 100% d’automatisation du processus de recrutement . C’est bien sûr l’erreur la plus courante. On se dit “la machine prend le relais, je n’ai plus rien à faire, elle publie les offres, elle sectionne les CV, elle organise les entretiens et répond aux candidats…). Un ATS ne remplace pas l’intelligence humaine. Un candidat a besoin d’associer une entreprise à un ou plusieurs visages, à une voix, à de vraies personnes le plus tôt possible dans le processus de recrutement.

😡 Ne pas impliquer ses collaborateurs : c’est le syndrome du savant fou qui s'enferme seul dans son laboratoire pour réaliser ses expériences en étant persuadé qu’il a raison. Dans la plupart des entreprises, le recrutement est un processus collaboratif. Le processus d’automatisation doit absolument se faire en concertation avec le reste des membres de votre équipe.

Recrutez mieux et plus rapidement avec l’ATS de Betuned

Betuned a développé un ATS pensé par des recruteurs pour les recruteurs. Il propose de nombreuses fonctionnalités qui permettent de simplifier votre processus de recrutement

Gestion des candidatures.

Diffusion des offres d’emploi sur plusieurs plateformes

Utilisation de l’Intelligence Artificielle pour rédiger les offres d’emploi

Gestion de la communication avec les candidats

Constitution d’une CV-thèque actualisée en temps réel, facile à consulter

Betuned est une solution globale de recrutement et marque employeur. Notre credo “ réinventer la rencontre entre les candidats et les entreprises”. Notre mission au quotidien c’est de vous aider à aller chercher les candidats là où ils sont, ceux qui sont en lien avec l’ADN de votre entreprise.

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Comment créer un programme d’employee advocacy pour renforcer votre employer branding ?

Vos employés sont bien plus que de simples travailleurs. Ils sont - qu’ils en aient conscience ou non - les ambassadeurs de votre entreprise par excellence. Cette idée essentielle résume parfaitement ce qu'est l'employee advocacy.

Avec l'avènement des réseaux sociaux  de nombreuses entreprises, qu'elles soient start-ups ou multinationales, ont déjà compris et mis en application ce concept pour améliorer la qualité de leurs recrutements.

Après tout, qui de mieux qu'un collaborateur  pour partager son expérience au sein de votre entreprise et donner envie à d’autres de postuler ?  Sur le papier, l’idée est brillante !

Cependant, mettre en place un programme d'employee advocacy ne se fait pas du jour au lendemain.

Qu’est-ce qu’un programme d’employee advocacy ?

Commençons par une définition : L'employee advocacy, également appelée programme ambassadeur, est une stratégie de communication RH puissante qui met l'humain au cœur de l'image de marque employeur. Il vise à transformer vos collaborateurs en ambassadeurs de votre entreprise, en particulier sur les médias sociaux.

Avant l'avènement des réseaux sociaux, la communication RH était horizontale et quelque peu impersonnelle. Mais avec l'essor des plateformes comme Facebook ou Insta, et l'information en temps réel, les candidats potentiels se sont mis en quête d’informations pertinentes sur leurs futurs employeurs. Ils veulent de la transparence, ils veulent connaître la réalité de leur futur environnement professionnel, le contexte au sein duquel ils vont évoluer.

💡 Le programme d'employee advocacy repose alors sur l'idée que vos collaborateurs sont les mieux placés pour parler de votre entreprise, de sa culture, de son ambiance et des opportunités qu'elle offre. Ils partagent déjà des informations sur leur employeur avec leur entourage, que ce soit leur famille, leurs amis ou leurs contacts professionnels.

→ En encourageant vos collaborateurs à partager du contenu sur les réseaux sociaux tels que LinkedIn, Facebook ou Instagram, la visibilité de votre entreprise augmente. Leurs messages authentiques et engagés amplifient la voix de votre entreprise et renforcent votre marque employeur.

Et dans les faits cela se confirme :

👍 Le contenu partagé par les collaborateurs récolte 8 fois plus d’engagement que les messages corporate (Sprout Social).

👍 Les messages de marque sont partagés 24 fois plus fréquemment lorsque ce sont les employés qui les publient. Ces messages ont une portée de 561 % de plus que les messages corporate sur les médias sociaux (Social Media Today).

Voici maintenant 5  astuces pour mettre en place un programme d’employee advocacy dans votre entreprise

1 - Définissez vos objectifs

Avant de laisser tout le monde poster à tout va sur Facebook ou Instagram, posez-vous la question des résultats souhaités en mettant en place votre programme d’employee advocacy.  Ayez des objectifs clairs et précis.

Voici quelques exemples pour vous donner de l’inspiration :

  • Augmenter la notoriété de votre entreprise ou de votre marque en général
  • Augmenter l’engagement avec vos clients potentiels sur les réseaux sociaux
  • Générer des leads B2B de qualité
  • Positionner votre entreprise comme leader sur son secteur
  • Attirer des candidats pour certains postes à pourvoir dans votre entreprise

💡 Plusieurs objectifs sont atteignables en simultané, mais au-delà de trois ou quatre vous risquez de vous perdre. Ensuite, en fonction de vos objectifs, choisissez les réseaux sociaux les plus pertinents.

Pour du B2B on privilégiera LinkedIn, pour cibler une clientèle plus jeune, Instagram ou Tik Tok, c’est top.

→ La composition de votre équipe dépendra également de vos objectifs. Si vous souhaitez générer des leads, incluez principalement des membres de l'équipe commerciale.

→ Pour de l’employer branding pur, impliquez des collaborateurs de confiance qui se sentent bien dans leur job.

2 - Fixer des règles

Lors de la mise en place d'un programme d'employee advocacy, il est essentiel de fournir à vos collaborateurs un cadre clair, mais suffisamment souple pour favoriser leur créativité.

Vous devez donc trouver l’équilibre entre deux dimensions fondamentales

👍 La spontanéité et l'authenticité sont des éléments clés d'un programme d'employee advocacy performant. Si vos ambassadeurs se contentent  ou se sentent obligés de partager des messages corporate sans y ajouter leur touche personnelle, ils risquent de ne pas se sentir suffisamment impliqués pour participer activement au projet.

👍 Vous devez définir des lignes directrices pour votre programme tout en laissant à vos collaborateurs la liberté d'ajouter leur propre style.

Ces guidelines garantissent la cohérence du contenu sur toutes les plateformes, préservent la réputation de l'entreprise et s'intègrent dans la stratégie marketing globale.Elles doivent préciser les éléments suivants :

  • Les types de contenu à publier (textes, vidéos, etc.)
  • Les canaux de diffusion (médias sociaux à utiliser)
  • Le ton à adopter (formel, léger, etc.)
  • Les pratiques interdites et les informations confidentielles à ne pas divulguer
  • Les bonnes pratiques des réseaux sociaux (codes et algorithmes) et du copywriting
  • Des exemples inspirants à suivre
  • Comment répondre aux commentaires
  • Les personnes à contacter pour des questions ou des clarifications.

N’oubliez pas de rendre ces guidelines facilement accessibles à tous les salariés. Elles doivent être faciles à comprendre et à mettre en pratique.

3 - Identifiez vos super ambassadeurs

Vous n’allez pas pouvoir compter sur la participation active de tous vos collaborateurs. Il y a de fortes chances que Jean-Luc de la compta ne soit pas aussi actif sur les réseaux sociaux que Sophie, 26 ans, YouTubeuse mode à ses heures perdues.

💡 Pour monter votre équipe de super-ambassadeurs : choisissez quelques volontaires, actifs sur les réseaux sociaux et acquis à votre cause. Ce seront eux les “trend-setters” de votre programme.

Associez-le à la construction du programme d’employe advocacy, récoltez leurs feedbacks au fur et à mesure pour affiner votre stratégie. Enfin, demandez à vos super-ambassadeurs de vous aider lors du lancement officiel du programme.

4 - Communiquez lors du lancement

Lors du lancement du programme, il est essentiel de faire en sorte que cet événement reste gravé dans la mémoire de tous les collaborateurs. Il ne doit pas se réduire à une simple annonce lors d'une réunion, mais plutôt être un moment mémorable et ludique.

💡 Pour susciter l'engagement de vos salariés, il est primordial de faire de cette initiative un événement à part entière. C'est une occasion unique de rallier vos équipes à la cause !

Lors de cet événement de lancement, assurez-vous d'expliquer clairement :

  • Les raisons et objectifs du programme.
  • Les différentes étapes du processus.
  • Les personnes clés et leur rôle.
  • Les avantages et récompenses que le programme offre aux participants et à l'entreprise.
  • Les ressources mises à disposition des ambassadeurs.

👍 Profitez de cette occasion pour mettre en lumière vos super-ambassadeurs ! Expliquez les étapes du projet et comment ces collaborateurs pionniers y ont contribué. Laissez-les partager leur expérience et témoigner.

5 Donnez les bons outils à vos ambassadeurs

Pour assurer le succès de votre programme, il est primordial de fournir les ressources nécessaires à vos ambassadeurs. Ces derniers peuvent se sentir déboussolés s'ils n'ont pas de support concret de travail pour créer et diffuser des contenus au nom de l'entreprise.

Voici quelques actions à entreprendre pour garantir le bon déroulement de votre programme :

  • Accompagnez-les dès le début en rédigeant quelques publications qu'ils pourront facilement partager. Encouragez-les à personnaliser ces publications selon leur propre style, ce qui leur permettra de s'impliquer davantage.
  • Formez vos collaborateurs à l'utilisation des médias sociaux. Il est important de prendre en compte leur niveau de compétence variable avec ces outils de communication. En leur enseignant comment engager des conversations intéressantes sur les réseaux sociaux, vous assurez une compréhension commune.
  • Fournissez régulièrement à vos ambassadeurs du contenu de qualité pour faciliter sa diffusion sur les réseaux sociaux. Alternez entre des contenus divertissants et des actualités pertinentes pour votre entreprise ou votre secteur d'activité.
  • Développez une boîte à outils qui rassemble des exemples, des bonnes pratiques, des contenus prêts à être utilisés, des images, des vidéos, ainsi qu'un calendrier des événements marquants.
  • Apprenez-leur à se poser les bonnes questions avant de partager un contenu : Est-ce que ce contenu apporte de la valeur à mon réseau professionnel ? Est-ce que sa publication pourrait nuire à ma réputation professionnelle ? Est-ce que je le partagerais avec des personnes extérieures à mon entreprise ? Est-ce que je souhaite que mes managers ou collègues le lisent ?
  • Choisissez les bons outils pour organiser la diffusion de vos contenus. Pour les petites structures, l'utilisation de Slack ou de Teams peut être appropriée, tandis que les grandes entreprises peuvent opter pour une plateforme dédiée à l'employee advocacy.

6 - Suivez les résultats de votre programme d’employee advocacy

L'employee advocacy, en tant que projet parmi d'autres, possède ses propres KPIs permettant d'évaluer la performance du dispositif mis en place.

Du point de vue marketing, le suivi de l'employee advocacy repose sur des indicateurs de performance tels que :

  • Le nombre de publications (à segmenter selon les différents départements de l'entreprise ou les types de salariés).
  • Le nombre de reposts et de commentaires (pour évaluer l'impact des publications réalisées par les employés).
  • Les taux de conversion et de rebond sur les pages promues par les collaborateurs.

Il est également important de mesurer la performance du dispositif du point de vue des ressources humaines.

💡 Comme mentionné précédemment, l'employee advocacy dépend de la satisfaction des employés, et ce type de programme peut avoir une influence positive ou négative sur leur engagement envers l'entreprise. La réalisation régulière de questionnaires de satisfaction vous permettra donc de suivre leurs réactions vis-à-vis de cette initiative.

Et surtout, n'oubliez pas cet aspect crucial : transformer vos employés en ambassadeurs assidus nécessite un réel changement de mentalité. Il est primordial d'instaurer une culture de l'honnêteté et du dialogue ouvert au sein de l'entreprise, tant entre les différents départements qu'entre les différentes strates hiérarchiques.

La marque employeur, et si on en parlait ?

Guerre des talents, mutations du monde du travail, entreprises à missions … attirer, fidéliser et accompagner ses futurs collaborateurs demande une attention toute particulière.

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