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5 tendances tech innovantes qui vont disrupter les RH

Les métiers des Ressources Humaines se trouvent à l'aube d'une transformation majeure qui va bien au-delà de l'automatisation de certaines tâches et processus déjà permise par certains outils et logiciels. La technologie appliquée au RH va bien plus loin et s'aventure aujourd’hui dans des domaines jadis exclusivement réservés à l’esprit humain pour le seconder ou pour lui apporter d’autres angles d’analyse.

Dans cette ère de disruption, des avancées significatives redéfinissent les contours traditionnels du travail RH, révélant une convergence inédite entre l'humain et la technologie.

Explorez avec nous les tendances qui marqueront cette nouvelle ère, où la tech transcende ses limites antérieures pour remodeler profondément la façon dont nous recrutons, gérons les talents, et appréhendons les dynamiques humaines au sein des organisations.

Qu’est-ce que la disruption technologique ?

La disruption technologique se réfère à la transformation radicale d'une industrie ou d'un secteur par l'introduction de technologies innovantes, remettant en question les modèles établis et créant de nouvelles normes.

→ Par exemple, l'avènement du téléphone portable a radicalement changé la communication personnelle et professionnelle, surpassant les téléphones fixes et nous donnant le don partiel d’ubiquité… et celui de consulter nos e-mails le dimanche après-midi pendant une balade en forêt 🙂

→ De même, Netflix a disrupté l'industrie du divertissement en introduisant un modèle de streaming à la demande, éclipsant les chaînes de télévision traditionnelles et la programmation linéaire en donnant aux utilisateurs un contrôle inédit sur leur expérience de visionnage.

La disruption “classique” des RH : automatisation des tâches à faible valeur ajoutée

C’est celle que nous connaissons tous, car nous l’avons vu à l'œuvre dans le passé. L’automatisation de tâches à faible valeur ajoutée à toujours été une constante de la disruption technique ou technologique. L’usine et ses chaînes de production en sont le principal exemple dans notre histoire récente.

→ En 2019, BMW fut un des premiers constructeurs à inaugurer une usine automatisée à 90%, gérée par 3 800 robots tous connectés entre eux et une trentaine de salariés seulement

👍 Pour un service RH, les tâches que certains outils de type ERP utilisant l’IA peuvent déjà accomplir concernent des responsabilités administratives telles que les congés, la digitalisation de la paie et des bulletins de salaire, la consolidation des informations RH, et la gestion des absences ainsi que du télétravail.

👍 Certains ATS permettent aussi d’automatiser une partie du processus de recrutement comme la communication avec les candidats ou le tri de CV suivant certains critères.

L'automatisation de ces tâches libère du temps pour les professionnels des RH, leur permettant de se consacrer à des initiatives plus stratégiques et innovantes.

Disruption, évolution et révolution RH

La seconde forme de disruption se manifeste de manière subtile, mais avec un potentiel révolutionnaire. Elle émerge lorsque la technologie investit des domaines qui étaient autrefois réservés exclusivement aux capacités humaines, allant au-delà de la simple automatisation.

Cela englobe des aspects plus complexes tels que l'évaluation des "soft skills" et la création d'équipes fonctionnelles et performantes au sein des entreprises.

👍 Cette évolution marque un tournant où la technologie cherche non seulement à reproduire des tâches, mais aussi à comprendre et à perfectionner des compétences humaines complexes, ouvrant ainsi de nouvelles perspectives pour une collaboration efficace et un épanouissement professionnel des salariés.

1 - L’analyse prédictive pour fidéliser les talents

L'analytique prédictive révolutionne la gestion des ressources humaines en se focalisant sur la fidélisation des talents. Grâce à l'exploitation exhaustive des données, elle permet d'anticiper les départs potentiels en identifiant des signaux faibles de mécontentement.

→ Des algorithmes sophistiqués analysent comportements, performances, et interactions sociales pour prévoir les risques de désengagement et proposer des solutions adaptées et personnalisées.

→ Les entreprises en tirent d'énormes avantages, adoptant des mesures proactives comme des ajustements salariaux, des promotions ou des programmes de développement professionnel.

👍 Cette approche préventive contribue à fidéliser les talents, mais renforce aussi la réputation de l'entreprise en tant qu'employeur attentif au bien-être de ses salariés.

« Se réinventer relève de notre survie. Stagner n’est plus permis », Jonathan Bordereau, co-fondateur de Golden Bees.

2 - L’IA va permettre le non-stop learning

Au XXe siècle, la norme était "Quatre ans d'études, trente ans dans la même entreprise." En 2024, les entreprises naviguent dans un environnement VICA (Volatil, Incertain, Complexe, Ambigu), exigeant une adaptabilité et une agilité considérables pour assimiler et appliquer de nouvelles connaissances.

L'intelligence artificielle (IA) se définit aussi comme un acteur clé dans le domaine de la formation, élargissant l'analyse des données en incorporant des informations contextuelles tirées du parcours professionnel de vos collaborateurs.

👍 Les outils de e-learning peuvent intervenir de manière opportune, en identifiant les lacunes ou en anticipant les besoins de formation à partir des données de performance actuelles, du niveau de compétences et des exigences du poste, favorisant ainsi une évolution de carrière plus fluide.

Un exemple concret est celui de l'enseigne Franprix, qui offre à ses employés la possibilité de gérer activement leur programme de formation grâce à l'IA. Ils accèdent à un catalogue en ligne, sélectionnent des modules de formation, et peuvent même contribuer à leur élaboration en collaboration avec l'entreprise et d'autres collègues. Cette autonomie, permise par la technologie, renforce non seulement l'engagement des salariés mais également leur satisfaction au travail.

👍 Pour favoriser l'innovation, certaines entreprises pourraient introduire des "coaches virtuels" - des outils interactifs interrogeant et conseillant les salariés, offrant des recommandations personnalisées en matière de formation et de développement professionnel.

Ces mentors virtuels ont l'avantage d'être disponibles à la demande, s'adaptant aux besoins individuels des employés. Par exemple, une entreprise pourrait déployer un assistant virtuel personnalisé qui, en se basant sur les performances passées d'un employé, recommande des formations spécifiques pour renforcer ses compétences.

3 - Une approche plus globale des candidats

Soft skills, hard skills, pourquoi séparer les deux ? La disruption technologique permet, à l’aide de certains outils d’entrevoir une approche plus holistique et plus objective des candidats.

👍 Demain des algorithmes analyseront minutieusement les données des candidats, évaluant non seulement leurs compétences techniques, mais également leurs traits comportementaux et leur adéquation culturelle. Le candidat n’est plus une liste de compétences, mais un collaborateur potentiel que l’on appréhende dans toute sa complexité et son potentiel.

→ Cette approche transforme le processus de sélection en un système plus objectif et efficient, éliminant les biais humains potentiels. L'utilisation de modèles prédictifs permet aussi d’évaluer le succès potentiel d'un candidat dans un rôle spécifique, au sein d’une équipe spécifique améliorant ainsi le taux de réussite des recrutements.

→ Ce type d’approche réduit également les délais de recrutement, offrant des avantages significatifs en termes de productivité.

4 - Data, prise de décision et mesure du ROI

La technologie se positionne comme un atout essentiel pour la gestion et l'exploitation optimale des données dans un contexte où les contraintes budgétaires se font plus pressantes y compris pour les RH.

Dans ce contexte , la capacité à évaluer le retour sur investissement (ROI) des différentes initiatives en matière de ressources humaines, au-delà du fait qu’elle est maintenant possible, deviendra progressivement une nécessité absolue.

→ La data offre une vision claire et en temps réel, permettant aux entreprises d'ajuster leurs stratégies en fonction des résultats concrets. Cela non seulement optimise l'allocation des ressources, mais guide également les efforts vers les initiatives les plus efficaces et centrées sur le bien-être et le développement personnel des salariés.

5 - Vers plus de créativité et d’agilité pour les RH

L'usage de la technologie dépasse son rôle d'automatisation ou de rationalisation des procédures ; il s'agit également de libérer et d’encourager la créativité et l'innovation au sein d’une organisation.

Imaginons une entreprise qui utilise une plateforme analytique basée sur l’IA pour évaluer les performances de ses équipes. Les données recueillies mettent en évidence des dysfonctionnements au sein des équipes- projet. Les responsables RH utilisent ces informations pour proposer un changement dans la structure organisationnelle de ces équipes.

En analysant de manière holistique les compétences, les niveaux d'engagement et les relations interpersonnelles, la plateforme suggère par exemple la création de petites équipes hyper-spécialisées avec un nouveau système de remontée de l'information qui pourrait améliorer l'efficacité globale.

→ Les responsables des RH utilisent ces insights pour produire une recommandation étayée par des statistiques basées sur des données tangibles offre une base solide pour la prise de décision stratégique, garantissant que les changements proposés ne sont pas seulement intuitifs, mais également alignés sur des résultats mesurables et des objectifs organisationnels clairs.


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Checklist RH : anticiper ses recrutements en 3 questions fondamentales (et bonnes pratiques)

Dans un contexte économique caractérisé par l’instabilité et l’incertitude, anticiper ou essayer d’anticiper l’avenir est une démarche essentielle pour les entreprises.

Prévoir, planifier, pressentir ses besoins en ressources humaines font partie des démarches nécessaires afin d'éviter toute dérive ou approximation coûteuse.

Pour éviter les imprévus et assurer le succès de vos futurs recrutements, il est impératif de se pencher sur au moins trois questions stratégiques fondamentales.

1 - Quels vont être vos besoins de recrutement dans 1, 2, 3 ou 5 ans ?

Personne n’a bien sûr la réponse exacte à cette question. Mais la question sous-jacente est : Quel processus mettre en place pour évaluer et recueillir les besoins de l’entreprise en termes de talents et de compétences ?

Voici des pistes de réflexion pour anticiper de manière efficace vos futurs recrutements :


1. Analyse stratégique : Conduisez une analyse approfondie des objectifs stratégiques à moyen et long terme de l'entreprise. Identifiez les secteurs de croissance, les nouveaux projets et les évolutions prévues. En cas d'informations manquantes, n'hésitez pas à poser des questions en interne pour obtenir toutes les données nécessaires.

2. Collaboration interne : Impliquez activement les différentes parties prenantes internes, notamment les responsables opérationnels et le management. Leur contribution peut fournir des perspectives essentielles sur les compétences nécessaires à la réalisation des objectifs.

3. Veille sectorielle : Restez constamment informé des tendances et des évolutions dans votre secteur d'activité. Comprenez comment ces changements pourraient influencer les besoins en talents de votre entreprise.

4. Formation continue : Investissez dans la formation continue de vos équipes existantes afin de les préparer aux nouvelles compétences requises dans le futur.

5. Réseautage : Établissez des relations solides avec des professionnels de votre industrie. Cette démarche peut fournir des informations précieuses sur les évolutions du marché du travail et vous aider à identifier des talents qualifiés.


2 - Quels sont les talents clés de votre organisation ? Quel est votre plan d’action en cas de départ ?

Dans 90% des cas, la réponse est : “Il n’y a pas de plan B…” !! En matière de gestion des talents au sein de votre organisation, il est essentiel d'adopter une approche proactive et réfléchie. La question fondamentale est : "Qui sont les talents clés de ma société, et pourquoi ?

Ensuite, élaborez un plan en cas de départ. Voici 3 best practices pour vous y aider :

Identification des talents clés : Identifiez les collaborateurs qui contribuent de manière significative à la réussite de votre entreprise ou ceux dont l’absence poserait un sérieux problème. Identifiez les compétences uniques et les expertises qu’ils possèdent et qui les rendent irremplaçables. Demandez-vous ensuite si d’autres collaborateurs possèdent ces compétences.

Simulation de départ : Que se passerait-il si demain Virginie, notre Directrice Financière, décidait de quitter le navire ? Et si Pascal, son adjoint, décidait de la suivre ? Construisez des simulations de départ pour évaluer la réactivité de votre équipe face à des départs potentiels.

Bench strength building et succession planning : Faites comme le club de foot de Manchester United pour gagner la Ligue des Champions : ayez un vestiaire aussi talentueux que l’équipe titulaire.

→ Bien sûr il y a la question du budget mais, assurez-vous que votre organisation dispose d'une réserve de talents prêts à prendre des responsabilités plus importantes et de s’adapter si un “key-talent” vous quitte.

→ Favorisez le développement des compétences polyvalentes, le recrutement basé sur les soft-skills et testez rapidement les équipes multidisciplinaires.

3 - Comment attirer les meilleurs candidats AVANT la publication de mes offres d’emploi ?

Adoptez une approche proactive du recrutement en construisant une marque employeur solide !

1. Différenciez-vous en tant qu’employeur ! Mettez en avant la culture de votre entreprise, les avantages en nature, les opportunités de développement personnel et de carrière. Soyez actif sur les réseaux sociaux, partagez les témoignages de vos salariés actuels pour faire transparaître l’ADN unique de votre organisation de manière concrète.

2. Optimisez votre site carrière : Investissez dans un site carrière à la fois ludique, simple, informatif et attrayant. Offrez une expérience utilisateur fluide en présentant clairement vos valeurs, missions et postes à pourvoir.

3. Produisez du contenu engageant : Créez régulièrement du contenu pertinent et captivant qui réponde aux questions des candidats sur l’entreprise et le processus de recrutement. Des articles de blog, des vidéos sur le quotidien des employés, ou des podcasts sur la vie en entreprise renforcent la visibilité de votre organisation et son attractivité auprès des futurs candidats.

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Pénurie de talents : 3 erreurs à éviter en 2024

Pénurie de talents : évitez ces 3 erreurs !

Même sans boule de cristal, nous sommes à peu près certains que l’année 2024 sera marquée par une pénurie de talents. C’est une réalité que nul responsable RH ne peut nier et cela concerne presque tous les secteurs d’activité.

Depuis plusieurs années déjà, les entreprises se creusent les méninges et passent à l’action pour améliorer le recrutement et fidéliser davantage les talents dont elles ont besoin. Que ce soit dans l'amélioration du processus de recrutement ou au niveau de la marque employeur, d'importants efforts ont été déployés.

🙂 Chez Betuned, nous sommes chaque jour un peu plus fiers de participer à cet élan et d'aider de plus en plus d'entreprises à comprendre comment se différencier et se positionner comme employeur de choix.

Cependant, malgré cette tendance de fond, certaines habitudes persistent et font obstacle au changement. Au-delà des processus, des méthodologies et des plans d’action, c’est dans l’humain qu'il faut chercher l'erreur.

Dans cet article, nous explorerons trois erreurs à ne pas commettre en 2024 pour éviter les écueils de la pénurie de talents.

Trop faire confiance à son intuition ou à son instinct

Quel recruteur ne s’est pas un jour dit “J’ai le bon feeling avec ce candidat !”? Trop se faire confiance en recrutement est une pratique très courante et c’est un comportement bien connu des sociologues.

En général, l’être humain surestime toujours son propre jugement en pensant qu’il est basé sur son expérience personnelle et qu’il est le fruit d’une pensée rationnelle. En réalité, dans l’histoire de l’humanité, nos ancêtres ont souvent dû décider rapidement - au risque de se tromper parfois - plutôt que de rester dans l’inaction. Et aujourd’hui encore l’intuition conserve une certaine valeur dans nos processus de décisions.

"Il y a trois millions d'années, face à un ours, seul dans la forêt avec mon gourdin, lorsque l'animal devient menaçant, je n'ai pas le loisir de réfléchir [...] Entre grimper à un arbre ou me jeter dans la rivière, peu importe, car ma vie en dépend." - Pascal Bartoli, chercheur au CNRS Poitiers

👍 Or, dans un monde devenu complexe aux sources d’informations diffuses et indirectes, l'intuition qui est un processus cognitif rapide, inconscient et émotionnellement chargé est moins pertinente. Elle doit être complétée par des informations factuelles pour éviter les échecs et les discriminations.

Cette sur confiance peut également conduire à ignorer les nombreux biais cognitifs qui influent sur notre jugement, tel que le biais de supériorité illusoire, où l'on surestime ses propres qualités. De même, le biais de confirmation peut nous pousser à favoriser les informations confirmant nos hypothèses tout en ignorant celles qui les contredisent.

La peur de se tromper

La conséquence financière d'une mauvaise embauche est significative. Ces coûts sont amplifiés par les impacts sur l'équipe, créant une pression écrasante pour les professionnels des ressources humaines.

La peur de se tromper peut alors être paralysante . Elle mène au doute, à l'inaction, voire à un sentiment de culpabilité. La crise du Covid-19, caractérisée par une vague de départs et une pénurie de candidats, a intensifié cette appréhension, voire ce sentiment d'impuissance face à ce type de défis.

👍 Cependant, prendre des décisions comporte toujours un risque d'erreur. Apprivoiser la peur de se tromper commence par l'acceptation que cette émotion est intrinsèque à la nature humaine et que les erreurs sont inévitables.

La bonne attitude consiste à réduire les risques d’erreur en se posant les bonnes questions pour affiner son processus de recrutement :

  • Comment éliminer le maximum de zones d’ombres et d’angles morts dans mon processus de sélection ?
  • Les informations sur les candidats sont-elles fiables et comment en être sûr ?
  • Des sources objectives appuient-elles ma décision ?
  • Ma connaissance approfondie du contexte et du poste est-elle suffisante pour recruter le bon profil ?
  • Comment me faire aider par un collègue en cas de doute ou de recrutement urgent ?

Faire comme on a toujours fait

Dans le milieu professionnel, dire “J’ai toujours fait comme ça” cache souvent une paresse intellectuelle où des schémas mentaux envahis par deux mauvaises conseillères que sont la force de l’habitude et la routine.

Tout comme l'intuition, l'habitude est un mécanisme que notre cerveau utilise pour minimiser les efforts. Environ 40% de nos actions quotidiennes ne sont pas le résultat d'une décision consciente, mais simplement de nos habitudes.

“Il arrive fréquemment que nous fonctionnions en mode automatique, que ce soit dans notre vie quotidienne ou au travail. Bien que ces réflexes automatiques soient souvent utiles, certains peuvent également être préjudiciables. Sur le lieu de travail, la crainte du changement peut surgir pour diverses raisons telles que la peur de l'inconnu, le manque de motivation, l'absence de compétences, ou encore le manque d'agilité” . Pascal Bartoli, chercheur au CNRS Poitiers

Penser contre soi-même demande un effort certes mais face à ces réactions naturelles au changement, il devient essentiel de cultiver son agilité, de poser des questions pertinentes, de maîtriser le stress et la panique, et surtout d'adopter une attitude critique envers les processus établis.

Par exemple, dans le domaine du recrutement, cela pourrait signifier adopter une approche itérative en testant de nouvelles méthodes de recrutement, d’ajouter ou de supprimer une étape, puis faire un bilan d’efficacité. Rester constamment à l'affût de nouvelles méthodes disruptives de talent acquisition contribuera à renforcer votre souplesse mentale et à accueillir le changement avec ouverture.

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Le travail en 2040 : tendances organisationnelles et enjeux RH dans un monde en mutation

Comment imaginer, comment penser le futur du travail ?

Envisager l'avenir du travail suscite des questionnements majeurs face à la complexité des défis qui se présentent. Les entreprises naviguent à travers des instabilités économiques, géopolitiques, environnementales et technologiques, les incitant à rechercher une agilité accrue.

Cette quête revêt une importance particulière alors que les travailleurs aspirent à donner davantage de sens à leur emploi et à trouver un équilibre amélioré entre vie professionnelle et personnelle.

Évolution de la valeur travail : de l’obligation à l’inutilité ?

Aujourd’hui, les machines - nos esclaves modernes et consentants - avec leur capacité de travail illimitée, d’automatisation et d’industrialisation de la production, remplacent la quasi-totalité des cols bleus et des agriculteurs.

Quant à l'Intelligence Artificielle, peut-être relèguera-t-elle demain les aficionados de l’e-mail, des brainstormings et des to-do lists à rallonge que nous sommes au rang de reliques poussiéreuses et inutiles d’une époque révolue ?

→ Instrument d’aliénation pour les uns, agent d’émancipation pour d’autres, le travail reste au centre de nos préoccupations et de nos interrogations. Comment la valeur travail va-t-elle évoluer ?

Le passé peut sans doute nous donner quelques éléments de réponse.

“Emploi du temps” et chute de l’Empire

J’ai lu récemment que de nombreux historiens attribuent la chute de Rome à l’oisiveté dans laquelle s’était vautrée l’élite dirigeante. Menant une vie de fêtes et d’orgies, déconnectés des réalités matérielles d’une plèbe laborieuse, les grandes familles patriciennes et leur entourage auraient progressivement perdu le goût de l’effort, du travail et de l’organisation, menant l’Empire au chaos.

→ Le travail productif fourni en très grande partie par des esclaves, laissa entrevoir pour la première fois de l’humanité les conséquences possibles, mais aussi les dérives d’une existence sans nécessité de travailler.

→ Depuis cette époque lointaine, l’homme n’a eu de cesse que de s’interroger sur les heures qu’il consacre chaque jour à produire, à rendre service, à conseiller ou à penser, pour lui-même ou pour ce que l’on décide d’appeler à la fin du XVIIIe siècle une entreprise.

→ La question persistante depuis cette époque est de savoir si le travail pourrait, pour une raison ou une autre, devenir inutile, privé de sens. Et c’est peut-être cette interrogation fondamentale - que faire de notre temps ? - que porte en elle la Gen-Z que nous avons tant de mal à recruter.


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Alors, de manière plus générale et en attendant une hypothétique ère post production, à quoi ressemblera le monde du travail en 2040, et comment évoluera notre relation avec le milieu professionnel ?

Voici quelques hypothèses issues d'une analyse prospective sur le futur du travail à l'horizon 2040, publiée par l'INRS français (Institut National de Recherche et de Sécurité) - un rapport détaillé de 143 pages que j'ai parcouru avec intérêt et curiosité entre deux repas de famille pendant les fêtes de Noël.

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1 - Un rapport au travail qui devient de plus en plus individuel

De “demain tous freelances” à "demain chacun chez soi, enfermé dans sa petite bulle d’intimité ?

La diversification des statuts des salariés et le développement de gestion des compétences vont probablement conduire à une approche de plus en plus autocentrée de nos trajectoires professionnelles au détriment du sentiment collectif d'appartenance.

Nous serons ainsi passés en quelques années à peine des grands mouvements de grèves des années 60 et 70 à une fragmentation mondialisée du travail, dont Upwork, Malt, le travail en remote et les ouvrages de développement personnel sont devenus les avatars officiels.

“On est moins comme les générations d’avant. On accorde beaucoup d’importance à l’équilibre de vie, à nos choix, et on se colle moins à une seule carrière. On bouge tous les 3-4 ans et ça nous fait du bien. On veut travailler, mais se respecter aussi, vivre maintenant et pas attendre notre retraite” (une étudiante interrogée dans le cadre de l’étude)

La jeune génération n’est finalement que le porte étendard d’aspirations largement partagées mais pas forcément avouées par la majorité. Citons par exemple le rejet du travail en tant que “valeur centrale” de l’existence.

“On a vu nos parents se faire virer comme ça à 50 ans, sans raison apparente, alors comment voulez-vous que l’on fasse confiance aux entreprises après ça ?” (un jeune cadre)

2 - Télétravail, pas de retour en arrière possible

Ce que les entreprises désigneront encore pendant quelques années comme "travail hybride" deviendra simplement le "travail”. Pour de nombreux salariés dont une partie des tâches peut être accomplie à distance, le télétravail est devenu une exigence et sera bientôt la norme. Ceux qui en sont privés ressentent souvent de la frustration et cherchent des alternatives.

Cela explique le désintérêt croissant pour les métiers nécessitant une présence physique constante en un lieu défini. Les emplois traditionnels tels que serveur ou livreur, autrefois populaires auprès des jeunes et des non-diplômés, deviendront probablement de plus en plus difficiles à pourvoir à salaire équivalent en raison de leur nature non virtualisable.

Ainsi, le télétravail semble représenter un changement irréversible dans la façon dont nous concevons et pratiquons le travail au quotidien.

3 - L’explosion des travailleurs indépendants

Malgré le manque de protection sociale induit par le statut d'indépendant, de plus en plus de salariés deviendront leurs propres patrons à mesure que les freelances s’organiseront pour équilibrer le rapport de force au sein de la “gig economy”.

→ De nombreux syndicats de freelances ont d'ailleurs vu le jour ces dernières années.

→ Et si l’on reproche souvent aux grandes plateformes de freelances le peu d’égard qu’elles portent à leurs “adhérents", les choses évoluent là aussi. À l’instar de Uber en Angleterre, il est sera possible de faire bénéficier d’un statut mixte - à mi-chemin entre freelance et salarié - incluant protection sociale, cotisations retraite, voire salaire minimum à certains travailleurs.

Au-delà du statut, les entreprises devront être capables de gérer de manière harmonieuse la cohabitation entre des salariés traditionnels et des experts indépendants avec des niveaux d'expertise et d'engagement hétérogènes.

Notons enfin une polarisation structurelle du marché du travail qui laissera apparaître d’un côté une population aisée, diplômée, formée, capable d’imposer certaines de ses attentes aux employeurs. Et de l’autre, les oubliés de la transformation digitale, dont la double peine sera de voir leurs métiers remplacés par des machines de plus en plus “intelligentes”...

4 - L’IA partout

Les progrès fulgurants de l’Intelligence Artificielle et ses conséquences sur nos modes de vie et nos représentations du monde seront probablement un des principaux marqueurs des années 2040 - 2100. On estime que d’ici à 2049, l’IA aura acquis les capacités cognitives d’un être humain.

Des métiers comme ceux de juristes, journalistes, rédacteurs, comptables, business developper, les emplois administratifs au sens large et certains métiers de la finance vont probablement disparaître ou exiger l’acquisition rapide de nouvelles compétences.

→ Pour les entreprises, la gestion des compétences - de quoi et de qui allons-nous avoir besoin demain? - sera cruciale dans un monde où 40% des métiers vont disparaître.

→ Les secteurs dans lesquels l’humain pourra encore se faire une place sont au nombre de trois :

  • les métiers “de tête”, à forte activité cognitive : décider d’une stratégie d’investissement, recruter, etc...
  • les métiers “de coeur” : infirmière, aide à domicile, médecin, psychologue…
  • les métiers “de bras” : les artisans, les restaurateurs, les charpentiers, les électriciens et ceux qui savent faire pousser des tomates bio dans un monde à +3 degrés.
  • les artistes au sens large du terme avec la question “Que considérons-nous encore comme de l’art? “

→ Ce qui pose par ailleurs un problème au niveau de la formation des populations les plus jeunes. Des cerveaux habitués à être assistés par une IA seront-ils en mesure de développer des capacités cognitives pertinentes et nécessaires pour se différencier sur un marché du travail dont le rapport de force pourrait s’inverser ?

5 - La dérive climatique et le risque géopolitique

Le réchauffement planétaire, la chute de la biodiversité, la raréfaction des ressources naturelles (fossiles et minières) seront sans nul doute les éléments les plus structurants de nos modes de vie (et de travail) pour les 500 ans à venir.

Les entreprises pourront avoir une approche à deux niveaux :

→ Au minimum et sans que cela soit suffisant : intégrez le changement climatique et la rareté des ressources énergétiques dans vos stratégies commerciales. Il s'agit d'enjeux de résilience et d'image, également connus sous le nom de RSE aujourd'hui, mais sans artifice social ni embellissement écologique.

→ Pour survivre dans un monde où la température pourrait augmenter de +2 ou +3 degrés Celsius, les entreprises visionnaires qui veulent perdurer doivent intégrer les limites planétaires dans leur stratégie Cela implique de repenser ou de renoncer aux notions actuelles de productivité et de croissance.

→ Pour les responsables RH : se former aux enjeux climatiques et environnementaux et les intégrer - avec plus ou moins de facilité selon les secteurs d’activités - dans la culture de l’entreprise et les pratiques managériales.

Le choix d'ignorer les limites planétaires et la contraction des flux physiques qui sous-tendent notre économie, de persister dans des modèles de productivité et de croissance non durables va entraîner, dans un premier temps, une obsolescence rapide de certains business model.

À terme, la persistance dans certaines pratiques productivistes, dépendantes des activités fossiles notamment risque de conduire à une disparition inévitable de beaucoup d’organisations et à la destruction de nombreux emplois. Alors autant anticiper.

On voit déjà par exemple l’étau dans lequel les grandes sociétés d’assurance sont prises : presque obligées de renoncer à leur raison d’être dans un monde où les risques climatiques deviennent vraiment significatifs. Il en est de même pour la voiture électrique : comment produire et promettre toujours plus de batteries quand le lithium et le cobalt se font déjà si rares ?

L'adaptation à une réalité climatique changeante devient non seulement cruciale pour la survie des entreprises, mais aussi pour la préservation à long terme de l'équilibre planétaire.

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Le stress est-il vraiment l’ennemi à combattre ?

J'ai une amie qui est constamment stressée, que ce soit à cause de son travail, de sa vie de famille ou de la vie en général. Dans sa quête pour se sentir mieux, elle a transformé son quotidien en une lutte contre le stress et l'anxiété. Méditation, salle de sport, régime Keto, lectures de développement personnel, vidéos ASMR, podcasts relaxants... elle a tout essayé.

Ironiquement, à force de penser constamment au stress, elle finit par être de plus en plus stressée !

Cet article, je l’ai écrit un peu pour elle. Au fur et à mesure des années, j’ai appris à maîtriser mon stress, et à en faire - toutes proportions gardées - un allié dans la vie professionnelle et personnelle.

Qu’est-ce que le stress ?

Le stress est une réaction de notre corps à un élément extérieur, par exemple à une menace réelle ou perçue. Ce n’est pas la situation elle-même. Certains psychologues décrivent aussi le stress comme un moyen d’adaptation à une situation donnée. Un animal qui se sent menacé va générer un stress qui provoque une réaction salvatrice comme la fuite ou la contre-attaque par exemple

→ Personne n’est donc stressé “par nature”. Quand on parle de stress, il faut toujours faire référence au contexte au sein duquel une personne évolue. Par exemple un soldat pendant la guerre…un sportif avant les Jeux Olympiques, moi avant un meeting important chez un client, etc…

Et le stress au travail ?

Le stress au travail est très répandu. Son origine est souvent à trouver dans un déséquilibre entre ce qu’on nous demande de faire et des ressources dont on pense disposer pour relever le défi.

👍 Là encore on voit que c’est le contexte qui crée le stress et pas le salarié lui-même. Si vous suivez ma pensée, vous en concluez que le stress ne doit pas nous culpabiliser, car il est dû à une situation dans laquelle nous sommes plongés, ou une interaction sociale à laquelle nous prenons part !

La surcharge de travail est le facteur numéro un de stress au travail. Mais il existe aussi d’autres sources de stress comme :

  • le manque de reconnaissance
  • le manque de soutien
  • l'ambiguïté des rôles
  • l’absence de visibilité sur les projets
  • l’absence de sens dans ce que l’on fait

Les personnes stressées au travail sont en général moins performantes et surtout plus malheureuses que les autres salariés.

👎 Une ambiance de travail stressante peut donc être très nocive, même à court terme pour une entreprise (turnover, journées de travail perdues, démotivation généralisée…)

Lutter contre le mauvais stress ?

L’idée répandue selon laquelle il existe un bon et un mauvais stress est fausse. Tout simplement parce qu’il s’agit d’une réaction chimique dans notre corps et qu’il n’y a pas de bon ou de mauvais cortisol, de bonne ou de mauvaise sérotonine, du moins pas encore !

En revanche, de par mon expérience, je pencherais davantage en faveur d’une distinction entre trois types de stress dont l’un me paraît plus “utile” que les deux autres.

😡 Le stress aigu se manifeste par les réactions physiologiques de notre corps lorsque nous sommes confrontés à une menace ou à une situation exigeante à court terme, tel que la prise de parole en public, un changement de poste ou une situation imprévue. Une fois la situation résolue, les symptômes de stress disparaissent généralement rapidement.

😡😡 Le stress chronique quant à lui résulte de la réponse prolongée de notre organisme à une situation stressante qui perdure. Par exemple, dans le cadre professionnel quotidien, il peut sembler que les demandes excèdent constamment nos capacités. Le stress chronique a toujours des conséquences néfastes sur la santé à long terme.

C’est le stress ressenti par mon amie, le stress s’enracine dans son quotidien, une routine s’installe et l’on trouve alors qu’il est normal d’être stressé en permanence, même si l’on dit vouloir s’en débarrasser. C’est un vrai cercle vicieux.

☯️ “Mon” bon stress : lorsqu'il surgit au moment idéal et de manière modérée, le stress dynamise mes performances, booste mes capacités, me fournit une énergie supplémentaire, accélère ma productivité, et ce, grâce à un équilibre subtil, une connaissance approfondie de soi-même et une maîtrise personnelle. Et je vous assure, ça fonctionne !

En écrivant cet article je suis d’ailleurs tombé sur une étude américaine datant de 2013 sur le stress en général dont les conclusions m’ont interpellée :

Les chercheurs ont invité 29 000 personnes choisies au hasard à évaluer leur niveau de stress au cours de l'année précédente et à indiquer dans quelle mesure ils pensaient que cela pouvait influencer leur santé.

→ Cette cohorte a été suivie pendant 8 ans, révélant que ceux se plaignant d'un stress élevé et croyant en ses effets néfastes connaissaient une augmentation de 43% du risque de décès.

→ En revanche, les individus très stressés, mais minimisant son importance présentaient le taux de mortalité le plus bas.

Après dix ans de recherche, l’étude conclut :

Dans tous les cas, le stress fait partie de notre vie. Plutôt que de percevoir le stress de manière négative, il est préférable de le considérer comme un moteur dynamisant. Il est crucial de savoir le gérer au quotidien, notamment par des exercices physiques, de relaxation et de respiration, afin d’apprendre à notre cerveau à le canaliser, à en tirer profit sans excès ni dépasser ses propres limites psychologiques.”

Trois conseils pour essayer de canaliser son stress

Voici mes trois astuces pour faire du stress un allié plutôt qu’un ennemi

1. Adopter une vision positive : Modifier son attitude envers le stress crée une énergie constructive. Par exemple, plutôt que de craindre cette réunion importante, j’essaye de voir plus loin et je pense aussi à toutes les conséquences positives potentielles de cette réunion sur le long terme : signer un contrat, faire bonne impression, comprendre un besoin, faire avancer un projet…

2. Garder le contrôle de la situation : Quand je commence à stresser sur une tâche complexe à accomplir, plutôt que de laisser l’angoisse m’envahir, je fais une liste de toutes les étapes intermédiaires pour y arriver. Parfois je découpe même ma journée en plusieurs tranches horaires étanches les unes des autres pour ne pas laisser le stress tout envahir.

3. Écouter ses besoins : Le stress, c’est aussi l’occasion d’apprendre à mieux se connaître. Soyez attentif aux manifestations du stress et réagissez en tirant des enseignements. Questionnez-vous sur l'origine du stress, demandez-vous ce dont vous avez besoin pour le gérer. Il peut s’agir d’un environnement de travail plus calme, de plus de temps, de conseils, de plus d’informations, ou d”un bon repas avec un verre de vin !


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Démonstration de nos services : prendre rendez-vous

Comment vos collègues de bureau utilisent-ils l’IA générative sans vous le dire ?

Tiens, c’est étrange, Jean-Pierre ne fait plus de fautes d’orthographe dans ses e-mails… Et Cristina, ne trouves-tu pas que ses présentations PowerPoint sont vraiment bien illustrées ?

Gain de temps, pertinence des propos, automatisation des tâches répétitives, correction de documents… Si 79 % des salariés n’ont jamais reçu de formation quant à l’utilisation de l’IA, ils sont 65 % à l’utiliser dans le cadre de leur travail en “mode amateur”.

L’utilisation de l’IA n’est pas encore encadrée ni formalisée dans le monde professionnel, mais ses atouts sont indéniables, et cette technologie ouvre un champ des possibles à ceux qui sauront l’apprivoiser rapidement. Nous ne sommes probablement qu’à l’aube d’une nouvelle révolution des usages et d’une potentielle vague d’innovation disruptive dont Jean-Pierre, Cristina et pourquoi pas vous, pourriez, du bout de votre souris, être demain les initiateurs !

« Une véritable vague d’IA va déferler sur nos sociétés dans les années à venir. Le sujet est déjà à l’agenda de 90 % des conseils d’administration. Nous avons donc dépassé le stade de la surprise et du déni d’impact » Benoit Reillier, directeur général de Launchworks & Co


Voici les tâches pour lesquelles l’IA générative est instinctivement utilisée au bureau :

La correction automatique d’e-mails et d’autres documents

L'IA générative peut être utilisée pour la correction automatique de documents, par exemple, une recommandation à remettre à votre n+1 ou tout simplement un e-mail important pour lequel toute coquille ou faute de syntaxe serait inexcusable.

👍 C’est donc grâce à ChatGPT que Jean-Pierre, responsable du service après-vente, a significativement et rapidement amélioré son niveau de grammaire et sa syntaxe ces derniers mois, pour le plus grand plaisir de ses clients et de son boss.

La rédaction de contenus originaux

C’est de loin la tâche que vos collègues, et sans doute vous aussi, confiez à ChatGPT. Que ce soit pour élaborer des rapports détaillés, rédiger des articles à partir d’une idée ou simplement composer des e-mails en se basant sur un message reçu et quelques indications, ChatGPT répond présent.

😡 Petite mise en garde concernant le style d’écriture : la machine n’est pas encore au top. Alors, relisez, modifiez et ajoutez une touche d’intelligence humaine dans vos écrits et rapports pour vous assurer de leur pertinence.

“L'augmentation de l'utilisation de l'IA générative découle principalement de la reconnaissance de sa contribution significative à l'accroissement de la productivité des employés. Ces derniers sont de plus en plus conscients de son impact, avec 71 % affirmant qu'elle améliore leur productivité au travail et 58 % estimant que leur niveau d'engagement professionnel s'en trouve renforcé”. Enquête Salesforce 2022

La création de visuels uniques et impactants

Au sein du département marketing, Cristina a bien compris que l'époque des banques d'images en ligne touchait à sa fin. C'est coûteux, et au final, tout le monde utilise les mêmes images pour illustrer son site web ou ses publications sur LinkedIn.

Mais vous savez, il y a cette photo prise dans un open space avec cinq jeunes collaborateurs qui sourient comme s'ils venaient d'obtenir une augmentation de 30%, chacun tendant un bras au-dessus de la belle table de réunion, superposant leurs mains pour former une étoile en signe de cohésion.

Sans oublier celle de la jeune fille métissée au sourire radieux et à l'abondante chevelure frisée, probablement le symbole d'une entreprise inclusive.

Cristina préfère désormais opter pour des visuels authentiques et originaux, créés sur mesure grâce à des solutions innovantes comme DALL-E d'OpenAI ou Midjourney. Fini les clichés stéréotypés, place à la créativité et à la personnalisation pour un impact visuel unique.

La semaine dernière, elle nous a même bluffés en réalisant un deepfake du CEO en train de faire du vélo... mais c'était juste pour faire rire les collègues à l'heure du déjeuner.

La personnalisation des messages en fonction de l’interlocuteur

Thierry continue de le faire manuellement avec ChatGPT, mais bientôt tout sera sans doute automatisé : afin de répondre de la manière la plus pertinente possible à ses clients, il copie/colle l'historique de ses échanges d'e-mails avec l’un d’entre eux et demande à l'IA de générer des réponses adaptées, tant sur le fond que sur la forme, c'est-à-dire en termes de style et de ton.

Certains outils d'IA vont même jusqu'à automatiser certaines réponses aux e-mails en analysant le contenu des messages pour proposer à l’utilisateur de choisir entre différentes réponses pré-rédigées.

La traduction instantanée de vos documents

Emilie n'a jamais brillé dans l'apprentissage des langues étrangères. À l'école, l'anglais était vraiment son point faible. Quelques séjours en Angleterre pendant les vacances d'été et quelques boyfriends londoniens lui ont permis d'atteindre un niveau acceptable pour la communication orale.

Cependant, le défi persistait longtemps du côté écrit. Aujourd'hui, grâce à l'IA, elle peut non seulement traduire efficacement avec des outils tels que Deepl, mais aussi composer des textes et recevoir des suggestions de formulations.

C'est une révolution pour quelqu'un qui, comme elle, avait du mal avec les aspects écrits des langues étrangères. L'IA a ouvert de nouvelles possibilités, facilitant non seulement la traduction, mais aussi la création de contenus dans des langues étrangères.

La génération de code pour les profils tech

Guillaume, lead developer au sein du service IT de votre entreprise, s'est récemment plongé dans l'univers de l'IA pendant ses moments de libre. En 2022, il avait déjà exploré les concepts du low-code et du no-code, des approches facilitant le développement informatique sans une expertise approfondie en programmation.

Mais cette année, il a l’impression qu’il va bientôt rentrer dans une nouvelle dimension. Il a récemment découvert qu'il suffit de formuler une problématique en langage naturel pour que l'outil génère plusieurs centaines de lignes de code d'une qualité exceptionnelle. Bien sûr tout n’est pas parfait, mais à la différence des méthodes de génération de code plus traditionnelles, l'IA générative apporte un aspect réellement interactif et une rapidité inégalée.

→ Ainsi, bien qu'il existe déjà sur le web des outils capables d'accomplir ces tâches, l'IA générative se distingue par sa capacité à transformer une requête vague de type "je voudrais coder une fonctionnalité qui ressemble un peu à …" en une réalisation précise de ce que vous aviez en tête après seulement quelques itérations.

👍 Et même si vous n’êtes pas développeur, cela fonctionne avec Excel. Expliquez en quelques phrases votre problématique à ChatGPT (j’ai besoin de croiser cette base de données avec tels ou tels critères…) et il vous proposera des énoncés de formules à copier/coller.

Faire de la veille et poser des questions à ChatGPT

Autrefois, la référence incontestée était Wikipédia, mais aujourd'hui, Julie préfère interroger directement ChatGPT. Avec un accès au web, cette IA est même capable de produire une synthèse concise sur des sujets complexes liés à son secteur d’activité ou à celui d’un client.

Que ce soit pour une lecture rapide avant une réunion cruciale, pour briller lors d'un dîner chez les beaux-parents, ou simplement pour enrichir ses connaissances rapidement, ChatGPT s'avère être un allié précieux.

😣Cependant, il est essentiel de rester vigilant. ChatGPT peut parfois commettre des erreurs, voire même s'égarer totalement (on dit même qu'il peut halluciner). Il est donc toujours recommandé de vérifier les sources qu'il utilise.

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Entretien annuel, 5 erreurs que vous ne devez plus commettre

Fin d’année rime souvent avec entretien annuel d’évaluation. Ce rituel incontournable de la vie professionnelle est un moment aussi important que stressant pour les deux parties.

Dans cet article, on vous explique comment réussir vos entretiens annuels en évitant certaines erreurs que beaucoup de managers commettent sans s’en rendre compte.

Quels sont les enjeux de l’entretien annuel d’évaluation ?

L'entretien annuel, moment crucial dans la gestion des ressources humaines, offre une opportunité unique pour les managers et les employés de réfléchir sur l'année écoulée, de discuter des performances, de fixer des objectifs futurs et de renforcer la relation professionnelle.

Cependant l’entretien annuel est un exercice périlleux pour trois raisons principales :

  • Dans de nombreuses entreprises et plus particulièrement dans les TPE/PME il n’est pas formalisé. On hésite alors sur la tournure que va prendre cette entrevue : discussion informelle, séance de coaching, négociation de salaire, présentation de doléances, ou dans le pire des cas…règlement de compte.
  • Le moment n’est pas propice à la discussion. Souvent en fin d’année, tout le monde est fatigué, stressé et on a qu’une seule envie, c’est de ne pas rajouter un meeting de plus sur sa to-do list, qui plus est un meeting rempli d’enjeux….
  • L’entretien annuel est un moment qui cristallise beaucoup d’enjeux : performance du salarié, messages à faire passer, perspectives de carrière, bilan de l’année écoulée, besoins et objectifs…. Ça fait beaucoup pour une seule entrevue !

Erreur 1 - Attendre la fin d’année pour recadrer un collaborateur

“Sylvie, je voulais revenir sur ta gestion désastreuse du dossier XYZ, tu te rappelles en mars dernier…” C’est l’erreur que l’on constate le plus dans ce genre d’exercice : attendre la fin de l’année pour évoquer une faute, un manquement ou une mauvaise conduite de la part d’un collaborateur.

Souvent par manque de courage et par peur du conflit un manager va décider de ne pas aborder de manière franche le problème avec un membre de son équipe. Ce report du recadrage peut s'avérer préjudiciable à plusieurs égards.

→ Tout d'abord, en retardant les feedbacks constructifs, le manager perd l'occasion d'apporter des ajustements en temps réel et de guider le collaborateur vers une amélioration continue tout au long de l'année.

→ En outre, cette approche peut créer une atmosphère de tension accrue, les problèmes non résolus s'accumulent jusqu'à l'entretien annuel. Cela peut rendre la discussion plus intense et émotionnelle, compromettant ainsi la qualité du dialogue et la capacité du collaborateur à assimiler efficacement les commentaires.

Tout est plus simple quand on se parle et quand la communication est encouragée au sein d’une équipe.

Erreur 2 - Ne pas prendre le temps de se préparer 🤦‍♂️⏳🚫

Pour que l’échange soit constructif, la préparation du manager est au moins aussi importante que celle du salarié !

Bien souvent, l’entretien d’évaluation n’a lieu qu’une fois par an, c’est pourquoi il est primordial que celui-ci soit aussi riche que possible et que l’atmosphère soit propice à l’échange afin de pouvoir discuter, analyser, réfléchir et proposer ensemble des solutions.

Pour cela, un seul moyen : la préparation ! Et en particulier celle du manager. Voici quelques tips pour savoir de quoi vous parlez :

  • Ayez un fil conducteur pour tous vos entretiens ou au moins la liste des points à aborder. Par exemple : Recueil des impressions sur l’année écoulée, projets, réussites, difficultés, questions, objectifs, rémunération.
  • Prenez des notes sur les personnes que vous managez pendant l’année pour arriver avec des faits concrets et un discours personnalisé.
  • Consultez le document d’évaluation AVANT l’entretien pour ne pas avoir l’air de tout découvrir au moment de l’entrevue.

Erreur 3 - Ne pas prendre l’entretien au sérieux 🤔💼🕰️

Considérer l'entretien annuel comme une simple formalité, même avec un salarié dont la collaboration semble sans accroc, constitue une erreur stratégique. Consacrer une heure de votre temps à un entretien annuel offre l'opportunité d'en faire un moment de qualité, une occasion de mieux connaître votre collaborateur. Profitez de cette occasion pour explorer sa perception du travail, de l'entreprise, et comprendre sa vision pour l'avenir au sein de l'organisation.

Un autre aspect crucial est de maintenir une concentration totale pendant cet échange. Évitez les distractions courantes telles que "Donne-moi deux minutes, c'est un coup de fil important…". Si nécessaire, réservez une salle de réunion tranquille, prenez des notes sur un carnet pour instaurer une équité d'attention et éviter de rester fixé sur l'écran de votre ordinateur.

L'entretien annuel représente bien plus qu'une simple formalité administrative ; il constitue une opportunité précieuse de renforcer la compréhension mutuelle, d'approfondir la relation professionnelle et d'optimiser la collaboration pour le bénéfice tant du collaborateur que de l'entreprise. En le prenant au sérieux, vous maximisez son potentiel en tant que levier pour favoriser la croissance individuelle et collective au sein de votre équipe.

Erreur 4 - Se concentrer uniquement sur le salaire 💵🚫🤝

Se limiter à parler du salaire lors de l'entretien annuel est une erreur. C’est souvent ce qui se passe lorsqu’un manager n’a pas préparé son entretien et que le salarié prend le lead sur le déroulé de l’entretien.

Cette focalisation sur le salaire est aussi très courante si vous managez une équipe de commerciaux qui ne plaisantent pas avec les mots primes et bonus.

Bien sûr, l'argent est important, il faut en parler, mais si on se fixe uniquement là-dessus, on passe à côté de beaucoup d'autres choses importantes.

Pour tirer le meilleur parti de cet entretien, il est judicieux d'inclure la discussion sur le salaire dans un échange plus large sur le travail et les perspectives. En abordant différents sujets, on s'assure que l'entretien est complet et qu'on ne rate pas l'opportunité de discuter de ce qui compte vraiment pour la croissance du collaborateur et de l'entreprise.

Autre idée : prévoir un entretien différent pour discuter de la rémunération !

Erreur 5 - Se concentrer uniquement sur les points négatifs 🤷‍♀️💔👥

Focaliser exclusivement sur les aspects négatifs lors de l'entretien annuel représente une erreur majeure. Cela peut partir d’un bon sentiment, celui de faire progresser le salarié. Mais s'il est crucial d'aborder les domaines nécessitant amélioration, vous ne pouvez pas commencer par le négatif dans un rendez-vous aussi important.

Se fixer uniquement sur les aspects négatifs peut non seulement décourager le collaborateur, mais aussi conduire à une perte de motivation et d'engagement. Il risque de se renfermer dans sa coquille pour se protéger d’autres potentielles attaques de votre part et le dialogue sera rompu.

Impossible de croire que tout est négatif chez l’un de vos collaborateurs. Alors trouvez et listez quelques-unes de ses réussites afin de briser la glace en début d’entretien, remerciez pour les efforts et le travail accompli et passez à la suite.

Erreur - Négliger les besoins et les défis professionnels de votre salarié 🛠️💼💻💻

Il est essentiel que votre collaborateur se sente capable d'atteindre les objectifs qui lui sont assignés, que ce soit en termes de compétences, de ressources ou de conditions de travail. Prendre en compte ses besoins et difficultés professionnelles est crucial pour une gestion efficace. Interrogez-le sur ses besoins en matière de formation, ses attentes en termes de qualité de vie au travail, etc. :

  • Quels sont ses objectifs professionnels à court et à long terme ?
  • A-t-il des aspirations spécifiques en matière de progression de carrière ?
  • Quels sont les défis qu'il rencontre dans ses missions actuelles ?
  • Y a-t-il des compétences ou des formations qu'il estime nécessaires pour atteindre ses objectifs ?

→ En abordant ces sujets, vous créez un environnement où votre collaborateur se sent écouté, soutenu et aligné avec les objectifs de l'équipe et de l'entreprise.

Erreur : Définir des objectifs inatteignables sans consulter votre équipe

Établir des objectifs irréalisables pour l'année à venir peut être un facteur majeur de démotivation. Des attentes trop élevées peuvent créer du stress et entraver la performance globale de l'équipe.

Pour éviter cette erreur, assurez-vous de définir des objectifs SMART : Spécifiques, Mesurables, Atteignables, Réalistes et Temporellement définis.

Avant de fixer ces objectifs, consultez vos collaborateurs ou votre équipe pour comprendre leurs perspectives et leurs idées :

  • Sont-ils d'accord avec les objectifs proposés ?
  • Pensez-vous que ces objectifs sont atteignables dans le délai défini ?
  • Ont-ils des suggestions ou des préoccupations concernant ces objectifs ?

En impliquant votre équipe dans le processus de définition des objectifs, vous favorisez l'engagement et la responsabilité collective. Vous vous assurez que les objectifs sont alignés avec les capacités et les aspirations de chaque membre de l'équipe, renforçant ainsi la motivation et la réussite globale. Ignorer cette étape peut conduire à des objectifs déconnectés de la réalité, entraînant frustration et démobilisation au sein de votre équipe… et un entretien annuel qui se transforme en échec.

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Fin d’année : comment gérer une période de rush au travail ?

Si votre to-do list de décembre est plus longue que celle que vous avez envoyée au père Noël, alors cet article a été écrit pour vous !

Ah, le joli mois de décembre !! Bientôt Noël, les cadeaux sous le sapin, les bons moments à partager avec nos proches et la famille. Oui, mais entre les festivités à préparer, les vacances à planifier, la corvée des cadeaux, les soirées de Noël et une to-do list dont il faudrait se débarrasser pour terminer l’année en beauté, il est très facile de se retrouver noyé sous une montagne de travail… qui entraîne son lot de stress.

Que vous soyez en train de jongler avec des dossiers urgents, des réunions qui n’en finissent plus, ou simplement une to-do list qui semble s’étirer à l’infini, voici comment maintenir la situation sous contrôle au moins jusqu’à l’année prochaine !

1 - Soyez réaliste, priorisez ! 📚 😬

Acceptez que tout ne soit pas parfait. Ce stress qui monte en vous, il faut l'écouter. C’est une petite voix qui dit “ Tu n’auras pas le temps de tout faire, même si tu travaillais jour et nuit jusqu’au 30 décembre”. Alors, autant se rendre à l’évidence tout de suite pour ne pas imploser en cours de route.
→ En période de rush, la première étape consiste à établir une liste de tâches prioritaires. Identifiez les éléments essentiels qui demandent une attention immédiate et concentrez vos efforts sur ceux-ci.

→ Adoptez une approche stratégique en planifiant soigneusement votre emploi du temps. Décomposez vos projets en étapes réalisables et fixez-vous des échéances intermédiaires.

→ Mettez certaines tâches en stand-by de manière volontaire, c’est un réflexe de survie !

2 - Communiquez avec votre équipe et votre boss de manière transparente 📣 👍

Évitez l'isolement et la tentation de tout gérer en solo. Optez pour une communication ouverte et régulière avec votre manager et vos collègues afin de coordonner vos efforts. Le mieux c’est d’élaborer ensemble un plan d'action “Spécial Noël” et de se répartir équitablement les tâches. Là encore, soyez prêts à abandonner certains projets trop ambitieux pour éviter la surcharge.

4 conseils pour bien communiquer en décembre quand on est sous pression…et le reste de l’année aussi ! 👍

1. Apprenez à déléguer : confiez certaines tâches à des collègues plus disponibles, tout en gardant à l'esprit la réciprocité potentielle. Le partage des responsabilités maintient l'équilibre dans l'équipe, cela fait partie du jeu !

2. Synchronisation des attentes et des objectifs : assurez-vous que chaque membre de l’équipe comprend parfaitement les enjeux du ou des projets en cours ainsi que le rôle qu’il joue et quels sont ses objectifs. Une communication claire prévient les malentendus et favorise une collaboration efficace.

3. Partage des ressources : Garantissez un accès équitable aux outils et documents essentiels. L'équité dans les ressources soutient la productivité collective d’une équipe.

4. Donnez du feedback en continu : Fournissez des retours réguliers à vos collègues et/ou managers. Vous pourrez ainsi ajuster vos méthodes de travail et éliminer certains obstacles pour accomplir certaines tâches plus rapidement.

3 - Un rush ou un marathon ? Prenez des moments de pause stratégiques 🧘 ☁️

Cela peut sembler contre-intuitif, mais prendre des pauses “stratégiques” peut améliorer votre productivité. Pour ma part, je préfère envisager la fin d'année comme un marathon où je module mon rythme, m'accorde des pauses, et trouve des moments de détente, que ce soit en partageant un verre avec des amis le soir ou en faisant du sport.

C'est en équilibrant les périodes d’effort et de repos que vous pourrez maintenir une performance soutenue tout au long de cette période exigeante.

Voici quatre conseils pour vous ménager en période de rush :

Des pauses brèves mais efficaces : qu'il s'agisse d'une courte promenade, de quelques étirements ou simplement de s'éloigner de son espace de travail pour aller faire une course en bas de la rue !

L'exercice physique : vingt minutes d’activité physique suffisent pour déclencher la libération d'endorphines, procurant une sensation de bien-être.

L'utilisation de techniques de relaxation : La pratique de la méditation peut contribuer à la gestion de l'anxiété et au retour à un état d'esprit apaisé en un temps record. Certains exercices de respiration ont aussi le pouvoir de vous aider à vous endormir plus rapidement.

La qualité du sommeil : On évite les écrans juste avant d’aller se coucher, on leur préfère une lampe de chevet et la lecture de quelques pages d’un roman qui fait fonctionner notre imagination.

4 - Faire le bilan et se poser les bonnes questions ❔😳

Si vous avez l'étrange impression de vous retrouver constamment dans une course contre la montre pour terminer des tâches importantes, si tous les mois de l'année ressemblent à décembre, peut-être est-il temps de vous interroger véritablement sur certains aspects de votre travail ?

Est-ce que la procrastination prend trop de place dans votre quotidien ? Votre motivation est-elle à la hauteur ? Maîtrisez-vous réellement l'art de la planification et de la priorisation des tâches ? Quelles sont les raisons de vos retards fréquents ? Faut-il en parler au reste de votre équipe ? Avez-vous des idées à partager avec votre boss ?

Profitez de cette période de rush pour tirer des enseignements afin d'éviter que de telles situations ne se reproduisent fréquemment.

Bon courage et joyeuses fêtes à tous !

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On parle de Betuned dans Solutions Magazine !

Betuned, recrutement en mode SaaS

Marque employeur, création de site carrières, Applicant Tracking System… Betuned dépoussière le recrutement. La start-up bruxelloise vise aujourd’hui le statut de scale-up.

« Pour recruter, il faut révéler qui vous êtes, raconter votre histoire. Chez Betuned, nous croyons beaucoup en la marque employeur. On aide nos clients à la définir d'un point de vue stratégique et, ensuite, à la rendre vivante : animation des pages LinkedIn, Facebook, TikTok, newsletters candidats, podcast, vidéos… »

Les entreprises, quelle que soit leur taille, ont parfois du mal à attirer les meilleurs talents. La marque employeur va leur permettre de révéler de nouveaux profils, assure Amélie Alleman, CEO, Betuned. A ses débuts, en 2019, l’entreprise avait approché le marché du recrutement via des capsules vidéos montrant l’ADN de l’entreprise. L’idée ? Mettre en scène le manager et les collègues avec lesquels le futur candidat serait amené à travailler ; lui permettre de « sentir » l’ambiance en plus du job lui-même.

La vidéo, poursuit Amélie Alleman, permet à l’entreprise de s’exposer. Pour pouvoir recruter il faut se démarquer, se différencier. « La marque employeur renvoie à la notion de séduction de l’entreprise sur le marché de l’emploi. Elle joue un rôle d’attraction assez similaire à celui qu’exerce la marque commerciale sur les consommateurs. Elle concerne à la fois l’identité de l’entreprise, sa culture, ses valeurs -autrement dit son ADN. »

Marque employeur, levier de recrutement

Au croisement du marketing et des ressources humaines, la marque employeur fait partie d’une stratégie de recrutement maîtrisée qui ne peut se faire qu’avec le soutien des collaborateurs. Elle n’a de sens que si elle naît et prospère en interne avant d’être perçue en externe. Elle est donc avant tout une affaire de cohérence entre l’interne vécu par les collaborateurs et l’externe perçu par les candidats.

Aujourd’hui, la réputation d’une entreprise, matérialisée par la qualité de sa marque employeur, constitue un fort levier de recrutement, s’accordent les spécialistes. Si celle-ci est positive, les candidats vont être plus facilement enclins à candidater et seront fiers de démarrer une nouvelle aventure professionnelle.

« Un des outils est la vidéo, enchaîne Amélie Alleman. Occupant aujourd’hui 80 % du web, elle est un excellent vecteur, y compris pour montrer l’envers du décor des jobs. A nous, ensuite, d’aller chercher les candidats là où ils sont grâce à du targeting. On peut aisément atteindre un taux de succès de 68 % et entre 15 et 25.000 vues qualifiées. »

Sites carrières, clé en main

Reste, ensuite, à convertir ces profils en candidats potentiels. Pour cela, Betuned s’est lancée dans la création de sites carrières pour entreprises. Et aujourd’hui, suite au succès de sa plateforme Betuned.be, la start-up lance MyBetuned, offrant la possibilité aux sociétés d’avoir un site carrière toujours à jour sur leur propre site web.

Un site carrière est un site internet dédié au recrutement qui rassemble toutes les offres d’emploi d’une entreprise, mais également les éléments de la marque employeur. Pratiquement, le candidat doit pouvoir accéder rapidement aux informations utiles, en particulier les offres en fonction de son profil et postuler simplement.

« Betuned développe le site carrière avec des landing pages correspondantes aux profils recherchés par l’entreprise, un contenu qui correspond à sa marque employeur, les textes, les photos, vidéos et les campagnes pour convertir les candidats en talents. Betuned analyse ensuite les datas pour s'améliorer sans cesse. On s’occupe de tout en un temps record ! »

Un recruteur aide le client à trouver les profils, que ce soit pour un besoin en recrutement ou consultance précis ou via le détachement d’un consultant pour gérer les recrutements.

Intelligence artificielle, ATS…

Derrière le site carrière, Betuned propose un ATS (Applicant Tracking System) pour sourcer les candidats et suivre les embauches de manière simple et efficace. Cet outil en mode SaaS (Software-as-a-Service) rassemble une base de données de CV qui centralise toutes les candidatures reçues, interrogeable selon différents critères, constituant ainsi un véritable vivier de candidats ; une interface de création et de multidiffusion d’annonces de recrutement ; un système de messagerie pour échanger directement avec les candidats sans passer par le mail et un processus de suivi des candidats, avec des statistiques, des grilles d’évaluation et la possibilité d’intégrer des comptes rendus d’entretien…

L’intelligence artificielle permet d’aller plus loin. En particulierautomatiser certaines parties répétitives du processus de recrutement comme la mise en correspondance entre candidatures et postes. Ce faisant, le scanning s’en trouvant accéléré, les recruteurs disposent de plus de temps pour analyser les profils les plus prometteurs et interagir avec les candidats.

Algorithmes…

De la même façon, les fonctions de pré-sélection et de classification sont elles aussi automatisées. Ces dernières sont basées sur des algorithmes qui classifient et catégorisent les candidats en fonction de leurs compétences et des résultats de leur évaluation de personnalité. La classification qualitative obtenue permet au recruteur de déterminer les meilleurs candidats.

Enfin, ces algorithmes apprennent ainsi à prendre des décisions impartiales lors des premières phases du processus de recrutement, à créer des viviers de talents pour des postes spécifiques, et aident même les recruteurs à créer de nouvelles ouvertures de poste.

« A nous d’aller chercher les candidats où ils sont. A nous de faciliter, pour nos clients, les étapes du recrutement. Et à nous de rendre l’expérience plus fun », conclut Amélie Alleman. En trois ans, la start-up a déjà généré plus de 70.000 candidatures qualifiées. Son objectif est désormais de passer au statut de scale-up et de viser la France.

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Betuned peut vous aider à sauter le pas ! Ne vous laisser pas submerger par les CV et la peur de voir vos meilleurs profils s'en aller. Nous mettons à votre disposition notre expertise et nos solutions sur mesure pour vous aider à renforcer votre marque employeur et à attirer les meilleurs talents. Contactez-nous sans plus attendre ! amelie@betuned.be

Comment préparer un entretien d’embauche en 40 minutes chrono ?

La bonne nouvelle que vous attendiez est arrivée !! Le recruteur vous a enfin rappelé pour vous annoncer que votre candidature a été retenue. Vous êtes prié de vous rendre à un entretien…. cet après-midi même !

Il vous est bien sûr facile d’aménager votre emploi du temps, d’inventer un faux rendez-vous “important” ou de prétexter une rage de dent soudaine pour ne pas passer à côté de cette superbe opportunité.

Mais il y a une réalité à laquelle vous devez faire face, vous avez moins d’une heure pour vous préparer !

Oui, vous auriez pu demander à votre interlocuteur de replanifier l’entretien, mais votre enthousiasme sans faille vous a fait répondre : “Oui bien sûr , à 16h, sans aucun problème, à toute à l’heure!” .

Et maintenant il est trop tard pour reculer. Alors voici nos meilleurs conseils pour préparer un entretien d’embauche en moins d’une heure.

Conseil n°1 - Note pour plus tard (2 minute)

Quelque part dans un coin de votre tête ou dans une note de votre smartphone écrivez : “Note pour plus tard, ne pas s’emballer quand un recruteur m’appelle et ne jamais accepter un entretien le jour même” 😀

Conseil n°2 - Renseignez-vous sur l’entreprise (6 minutes)

C’est le point de départ logique de cette course contre la montre qui s’est engagée. Tout candidat qui se respecte doit en savoir un minimum sur l'entreprise qu’il souhaite rejoindre.

Vous devez montrer que votre intérêt est authentique et que vous avez fait vos devoirs, par respect pour le recruteur et pour que l'échange soit plus constructif.

Ne vous perdez pas dans le méandre des banalités de wikipedia mais utilisez le peu de temps dont vous disposez pour trouver des informations originales, des faits saillants de l’histoire de l’entreprise pour vous différencier des autres candidats. Intéressez-vous particulièrement

- au dernier article de presse qui mentionne l’entreprise

- à son ou ses dernières innovations, lancement de produit

- au parcours de son CEO

- aux valeurs qu’elle prône en général et celles qui vous touchent personnellement

- à son secteur d'activité, ses problématiques principales, ses défis pour l’avenir

Conseil n°3 - Concentrez-vous sur la job description (6 minutes)

C’est un moment décisif qui demande une pleine concentration. Relisez attentivement et en détail l’annonce à laquelle vous avez répondu. Beaucoup d’informations y sont présentes et quand on dispose de peu de temps il faut les exploiter au maximum.

Lisez et relisez la job description en ayant en tête qu’elle vous aidera à :

  • ne pas poser de question inutile pendant l’entretien et d’aller droit au but
  • montrer que vous faites partie des meilleurs candidats pour ce poste en mettant en avant les compétences les plus en phase avec le poste
  • poser des questions pertinentes sur le poste en lui-même, vos missions, votre équipe afin d’engager un vrai échange avec le recruteur

Conseil n°4 - Votre pitch de présentation (10 minutes)

Passons en revue un autre aspect clé de votre préparation, la réponse à la question “Présentez-vous s’il vous plaît ? “. Malgré l’urgence et la précipitation, si vous parvenez à vous présenter de manière claire et posée dès le début de votre entretien, vous allez rapidement gagner en confiance pour la suite de l’entrevue.

Prenez 6 minutes pour :

→ Récapituler en quelques phrases votre parcours, en évitant de simplement reproduire les éléments de votre CV.

→ Ensuite, orientez votre discours vers vos motivations spécifiques pour le poste en question. essayez de trouver un fil directeur entre vos expériences passées, votre projet professionnel et les besoins spécifiques de l'entreprise, tels qu’énoncés dans le descriptif du poste.

→ L’idée principale c’est de montrer que la suite logique de votre carrière et là où vous serez le plus épanoui et le plus productif sera dans le poste dont il est question.

Si vous souhaitez disposer d'une méthode éprouvée pour réussir votre présentation lors de l'entretien d'embauche (et pour répondre sans stress aux questions du recruteur), n'hésitez pas à vous entraîner à utiliser la méthode STAR.

Conseil n°4 - Réfléchissez à la question “Citez-moi trois défauts et trois qualités?” (4 minutes)

Celle-là c’est sûr que l’on va vous la poser. Alors, même si le temps imparti est très court, faites une liste de 3 ou 4 défauts avouables et trouvez comment vous avez réussi à en faire des forces ou à les travailler afin de les minimiser.

→ Si vous avez cinq minutes supplémentaires, lisez notre article “5 défauts que les recruteurs sont prêts à entendre”. On vous y explique comment faire pour présenter vos défauts sous un jour positif.

Conseil n°5 - Préparer des questions à poser au recruteur (5 minutes)

Un candidat qui ne pose pas de questions a du mal à passer pour quelqu’un de motivé. Pour éviter de donner votre langue au chat, préparez une série de questions sur l’entreprise et sur le processus d'embauche en général pour montrer votre intérêt :

  • Qu’est-ce qui est le plus important pour vous pour ce recrutement ?
  • Quelles sont les prochaines étapes ?
  • J’ai vu que vous aviez lancé un tout nouveau produit, êtes-vous satisfait des premiers résultats ?

Conseil n° 6 - Trouvez ce qui vous rend unique et désirable pour ce poste (7 minutes)

La plupart des candidats se contentent de montrer qu’ils “correspondent” au profil décrit dans l’annonce à laquelle ils ont répondu. Ils ont des arguments du type “Vous voulez quelqu'un qui a cinq ans d'expérience dans le domaine et j'en ai six.”.... C’est en partie ce qui rend un entretien ennuyeux.

→ Trouvez une compétence, un trait de caractère que d’autres candidats sont moins susceptibles de posséder et qui vous rendent unique. Peut-être que votre sens du marketing fera de vous un atout pour l'équipe technique.

→ Ou encore, vos compétences relationnelles vous aideront à vous intégrer dans une équipe qui a récemment connu des changements importants de son management.

Conseil n°7 : “Hit the road !! “

Vous n’aurez de toute façon pas le temps de parfaire votre préparation pour cet entretien. Alors ne faites pas comme le petit lapin d’Alice au Pays des Merveilles, n’en rajoutez pas en arrivant en retard, l’air un peu affolé à votre entretien.

Prévoyez un délai supplémentaire à celui annoncé par Google Maps pour ne pas ajouter au stress de la situation, si vous arrivez en avance, faites le tour du pâté de maison en marchant lentement pour vous calmer et en posant votre respiration.

Et un dernier conseil…n'oubliez pas votre CV dans l’imprimante du bureau avant de partir, ça fait toujours mauvais impression 😀

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